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Selon lui, le problème majeur réside dans l'absence de Ngolo Kanté : «Le facteur numéro un qui a changé pour leurs adversaires se trouve au milieu de terrain, a expliqué le capitaine de Watford, qui a battu Leicester cette saison (2-1). Cette année, on peut passer leur milieu et s'approcher de leur défense plus facilement. L'an dernier, chaque fois que nous franchissions le milieu, j'avais toujours le sentiment que Kanté allait revenir et je savais que je n'avais pas beaucoup de temps. Même si j'en avais, je savais qu'il pouvait arriver à tout moment, ce qui m'obligeait à me précipiter.»
Troy Deeney est toujours aussi impressionné par l'endurance de Kanté, qui joue désormais à Chelsea. «J'ai toujours pensé qu'il accomplissait le travail de deux joueurs, donc sans lui c'est très difficile de compenser.» La même expression avait été employée à l'égard de l'ex-Caennais par Claudio Ranieri lui-même il y a quelques semaines. Une équipe plus attendue
L'autre explication avancée par Deeney est que les équipes savent désormais quelle tactique adopter face aux Foxes, qui excellaient l'an passé dans l'art de la contre-attaque. «Maintenant, les équipes défendent dès le début contre eux, et leur laissent la possession. Ce n'est pas une position qui convient à Leicester, surtout avec le niveau de confiance des joueurs actuellement.» Du reste, Troy Deeney n'oublie pas non plus la «fatigue mentale» causée par la campagne de Ligue des champions (une compétition où Leicester demeure invaincue) : «C'est difficile de rester au même niveau (de concentration) à chaque match.»
Troy Deeney est toujours aussi impressionné par l'endurance de Kanté, qui joue désormais à Chelsea. «J'ai toujours pensé qu'il accomplissait le travail de deux joueurs, donc sans lui c'est très difficile de compenser.» La même expression avait été employée à l'égard de l'ex-Caennais par Claudio Ranieri lui-même il y a quelques semaines. Une équipe plus attendue
L'autre explication avancée par Deeney est que les équipes savent désormais quelle tactique adopter face aux Foxes, qui excellaient l'an passé dans l'art de la contre-attaque. «Maintenant, les équipes défendent dès le début contre eux, et leur laissent la possession. Ce n'est pas une position qui convient à Leicester, surtout avec le niveau de confiance des joueurs actuellement.» Du reste, Troy Deeney n'oublie pas non plus la «fatigue mentale» causée par la campagne de Ligue des champions (une compétition où Leicester demeure invaincue) : «C'est difficile de rester au même niveau (de concentration) à chaque match.»