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Lamine Sané : Avec un grand plaisir et une grande fierté parce que ce n’est pas tous les footballeurs qui disputent une compétition d’une telle envergure. La CAN n’est pas loin des meilleures compétitions de football. C’est une grosse vitrine pour un professionnel envisageant de poursuivre sa carrière dans un championnat beaucoup plus relevé. Je n’ai pas hésité un seul instant parce que la CAN est devenue une compétition de très grande envergure regardée un peu partout dans le monde. Elle donne de la valeur ajoutée au footballeur professionnel.
Question : N’avez-vous pas hésité à l’idée de venir rejoindre les Lions au vu des difficultés actuelles de Bordeaux ?
Lamine Sané : Il est vrai aussi que Bordeaux commence à remonter la pente après des débuts difficiles mais le Sénégal a aussi besoin de moi. Mes dirigeants savent que je tiens beaucoup à l’équipe nationale et ils connaissent bien le règlement international.
Question : Gardez-vous un objet fétiche par devers vous ?
Lamine Sané : Oui, je l’ai toujours depuis mes débuts professionnels et le fanion de mon premier club, Lormont en France. C’est le président du club qui me l’avait offert et il m’a dit qu’il me porterait bonheur. Et ce fanion, je le tiens toujours à mes côtés lors de mes déplacements en club ou en équipe nationale.
Question : Quand vous étiez plus jeune, quelle idée aviez-vous de l’Afrique ?
Lamine Sané : (Rires). Souvent, ce sont les mêmes, la forêt dense, les animaux, les histoires de lion, des lièvres (il se marre). On entend la même histoire souvent et c’est quand on vient qu’on comprend.
(APS)