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SENXIBAR-«Les dispositions étaient prises pour la réussite de cet événement. Il y avait une sécurité maximum à l’intérieur comme à l’extérieur. Les lutteurs ont respecté à l’heure. Yékini est venu avant 15 h 30 et Balla Gaye 2 avant 17h. Nous pensions que la lutte a atteint une telle dimension que nous ne voulons pas qu’elle régresse. Ce genre de situation peut nuire la discipline parce que l’esprit de fair-play est très important», a indiqué Luc Nicolaï contraint d’annuler la rencontre pour des raisons de sécurité.
Sa structure qui devrait se réunir hier à 19 h tient à donner ce jeudi une suite à l’échec de ce deuxième acte du face à face Yékini- Balla Gaye 2.
Mais, il tient plus que jamais à organiser une autre rencontre avant combat comme le stipule le contrat signé avec les deux lutteurs. «Nous allons discuter et voir éventuellement la possibilité de faire autre chose. Un autre face à face figure dans le contrat. Il y aura également un autre face à face après le combat », confie-t-il, conscient de la gravité de cette situation qui peut porter un gros préjudice à l’image de la lutte. «La lutte est quand même assez particulière par rapport aux autres disciplines. Les gens doivent comprendre ces situations. Aujourd’hui, devant la situation, nous essayerons de voir comment sauver la face. La lutte ce n’est pas seulement le promoteur mais, il y aussi les sponsors. Il faut que nous respections le contrat qui nous lie avec eux», soutient-il.
Sa structure qui devrait se réunir hier à 19 h tient à donner ce jeudi une suite à l’échec de ce deuxième acte du face à face Yékini- Balla Gaye 2.
Mais, il tient plus que jamais à organiser une autre rencontre avant combat comme le stipule le contrat signé avec les deux lutteurs. «Nous allons discuter et voir éventuellement la possibilité de faire autre chose. Un autre face à face figure dans le contrat. Il y aura également un autre face à face après le combat », confie-t-il, conscient de la gravité de cette situation qui peut porter un gros préjudice à l’image de la lutte. «La lutte est quand même assez particulière par rapport aux autres disciplines. Les gens doivent comprendre ces situations. Aujourd’hui, devant la situation, nous essayerons de voir comment sauver la face. La lutte ce n’est pas seulement le promoteur mais, il y aussi les sponsors. Il faut que nous respections le contrat qui nous lie avec eux», soutient-il.
