Autres articles
-
Tamba : les 24 gardes du PUR mis en cause et le chauffeur du bus déférés ce vendredi
-
Candidature de Khalifa Sall : la Cour de la Cedeao se dit compétente et va mettre en délibéré demain vendredi
-
Sit-in : les notaires arrêtés finalement libérés, leur avocat Me Elhadji Diouf attaque Ismaila Madiorr Fall
-
Tyco Tatoo raconte : «Warda Attam était nue et accroupie devant moi ... « Sa Liguèye bi sensible na... », lui dit le juge
-
URGENT - LA COUR SUPRÊME A TRANCHÉ : KHALIFA SALL RESTE EN PRISON !
Tyco, tatoueur de profession, avait été arrêté et placé sous mandat de dépôt à la prison de Rebeuss suite aux photos de femmes nues et vidéos obscènes publiées sur les réseaux sociaux. Il a dégagé toute responsabilité quant aux gens qui viennent le voir pour se tatouer le corps.
«Ces images que j’ai mis sur Whatsapp et sur Instagram servaient de modèles pour mes clients. Je ne suis pas journaliste pour mettre des vidéos sur les réseaux sociaux. Ce sont les journalistes qui l’ont fait», se défend Tyco le Tatoueur.
Le parquet qui dit être convaincu de la culpabilité du mis en cause a requis 2 ans d’emprisonnement ferme et une amende de 500 mille F CFA. Car selon le procureur, ces photos sont contraires à nos moeurs et nos religions. Quant aux avocats de la défense, ils ont plaidé une application à la loi. «Le procureur a requis une peine très sévère C’est juste un artiste qui a fait la promotion de son art. Il ne savait pas que ces diffusions portaient préjudice à la société», a soutenu Me Padonou.
Au terme du procès, le juge l’a condamné à 1 an dont 1 mois ferme et à 1.500.000 F CFA d’amende.
Mamadou Salif Dieng
«Ces images que j’ai mis sur Whatsapp et sur Instagram servaient de modèles pour mes clients. Je ne suis pas journaliste pour mettre des vidéos sur les réseaux sociaux. Ce sont les journalistes qui l’ont fait», se défend Tyco le Tatoueur.
Le parquet qui dit être convaincu de la culpabilité du mis en cause a requis 2 ans d’emprisonnement ferme et une amende de 500 mille F CFA. Car selon le procureur, ces photos sont contraires à nos moeurs et nos religions. Quant aux avocats de la défense, ils ont plaidé une application à la loi. «Le procureur a requis une peine très sévère C’est juste un artiste qui a fait la promotion de son art. Il ne savait pas que ces diffusions portaient préjudice à la société», a soutenu Me Padonou.
Au terme du procès, le juge l’a condamné à 1 an dont 1 mois ferme et à 1.500.000 F CFA d’amende.
Mamadou Salif Dieng
