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Au tableau d'honneur de cette entreprise de prédation, la Caisse de dépôt et de consignation(CDC). La structure dirigée par Thierno Seydou Niane a été épinglée dans une opération jugée scandaleuse qu'elle a menée à Bambilor. Il s'agit d'une transaction foncière de 150 hectares que la CDC a effectué sur un terrain litigieux, objet d'un titre foncier 1975/R du Général Bertin. D'après le rapport c'est un site sur lequel la CDC a engagé un programme de construction de 5000 logements sociaux dont plus de 1700 sont en cours de finalisation. D'ailleurs, il semble que tout n'est pas clair dans cette opération dont des écarts sont relevés par les magistrats.
Dans le rapport de 2014, la Cour des Comptes a aussi noté des tares dans l'Institut de prévoyance retraite (Ipres). L'institution dirigée par Mamadou Sy Mbengue est épinglée pour des écarts dans la gestion de l'argent des retraités, mais aussi pour sa générosité jugée suspecte en faveurs des administrateurs de la boîte.
En dernier point, le rapport de la Cour des Comptes s'est aussi intéressé sur les subventions de l'aide à la presse. L'Obs précise que même si les conclusions ne visent pas directement les entreprises de presse, les enquêteurs ont noté que des organes de presse ne répondent pas aux critères édictés par la loi. Ils ont bénéficié, à plusieurs reprises, à des proportions inexplicables, de cet appui que l'Etat alloue chaque année à la presse. Des titres qui ont disparu des kiosques, des radios qui n'émettent plus ou des sites internet "fantômes" sont servis à la place des plus méritants. Sur la liste des sociétés de l'Etat qui ne répondent pas à l'orthodoxie. La Société nationale de l'Habitation à loyer modéré (Sn Hlm) est également au banc des accusés.
Dans le rapport de 2014, la Cour des Comptes a aussi noté des tares dans l'Institut de prévoyance retraite (Ipres). L'institution dirigée par Mamadou Sy Mbengue est épinglée pour des écarts dans la gestion de l'argent des retraités, mais aussi pour sa générosité jugée suspecte en faveurs des administrateurs de la boîte.
En dernier point, le rapport de la Cour des Comptes s'est aussi intéressé sur les subventions de l'aide à la presse. L'Obs précise que même si les conclusions ne visent pas directement les entreprises de presse, les enquêteurs ont noté que des organes de presse ne répondent pas aux critères édictés par la loi. Ils ont bénéficié, à plusieurs reprises, à des proportions inexplicables, de cet appui que l'Etat alloue chaque année à la presse. Des titres qui ont disparu des kiosques, des radios qui n'émettent plus ou des sites internet "fantômes" sont servis à la place des plus méritants. Sur la liste des sociétés de l'Etat qui ne répondent pas à l'orthodoxie. La Société nationale de l'Habitation à loyer modéré (Sn Hlm) est également au banc des accusés.