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SENXIBAR-Mamadou Lamine Diallo est convaincu que le président de la République, Abdoulaye Wade quittera le pouvoir avant le 26 février, date du scrutin. Le leader de Tekki a soutenu cependant que tout résulterait de l'évolution des manifestations. «Ça dépend de comment ça va se faire. Le mouvement populaire est aujourd'hui plus que déterminer à combattre la candidature de Abdoulaye Wade. Et il revient de revoir les stratégies pour contraindre le candidat du Pds à renoncer» a déclaré M. Lamine Diallo.
Il a préconisé le mot d'ordre : «Wade démissionne» en lieu et place «Wade dégage». «Après la validation de la candidature de Wade par le Conseil constitutionnel, les initiateurs doivent pousser le président à démissionner de la tête de la magistrature suprême. De ce fait, le M. 23 doit mobiliser toutes les forces.» Il a estimé que M. Wade a été ébranlé à Thiès et dans plusieurs régions du Sénégal. Un constat qui l'amène à dire que le combat va aboutir. Sur sa non participation à la présidentielle, Mamadou Lamine Diallo a souligné: «c'est pour être logique avec notre revendication. Nous étions d'accord avec le M23 qu'il n'y ait pas d'élection avec Wade. A notre niveau, nous avions adressé une correspondance au Conseil Constitutionnel pour tester son impartialité et qui est restée sans suite. Pour être logique avec notre principe, nous avons décidé de ne pas nous présenter pour ne peut pas vivre la contradiction qu'est en train de subir les autres candidats de l'opposition qui sont partis en campagne électorale après la validation de la candidature de Wade.» Parlant du candidat de l'opposition qu'ils vont soutenir, Mamadou Diallo dit qu'il n'y a pas encore d'urgence
Il a préconisé le mot d'ordre : «Wade démissionne» en lieu et place «Wade dégage». «Après la validation de la candidature de Wade par le Conseil constitutionnel, les initiateurs doivent pousser le président à démissionner de la tête de la magistrature suprême. De ce fait, le M. 23 doit mobiliser toutes les forces.» Il a estimé que M. Wade a été ébranlé à Thiès et dans plusieurs régions du Sénégal. Un constat qui l'amène à dire que le combat va aboutir. Sur sa non participation à la présidentielle, Mamadou Lamine Diallo a souligné: «c'est pour être logique avec notre revendication. Nous étions d'accord avec le M23 qu'il n'y ait pas d'élection avec Wade. A notre niveau, nous avions adressé une correspondance au Conseil Constitutionnel pour tester son impartialité et qui est restée sans suite. Pour être logique avec notre principe, nous avons décidé de ne pas nous présenter pour ne peut pas vivre la contradiction qu'est en train de subir les autres candidats de l'opposition qui sont partis en campagne électorale après la validation de la candidature de Wade.» Parlant du candidat de l'opposition qu'ils vont soutenir, Mamadou Diallo dit qu'il n'y a pas encore d'urgence