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Opinion

On reparle des médicaments de la rue. Et après ?


Jeudi 13 Octobre 2011

SENXIBAR-La vente des médicaments de la rue refait surface au Sénégal. Après une interdiction formelle des autorités contre ces médicaments contrefaits certaines personnes continuent aujourd’hui à braver l’interdiction de l’autorité. C’est ainsi que 7 personnes ont été arrêtées à Kaolack dont 3 femmes qui détenaient ces médicaments qui tuent.


On reparle des médicaments de la rue. Et après ?
Sur les ondes de Sud FM, un pharmacien a informé que les produits contrefaits entrent dans le pays par le biais de certains gros bras. Pourtant il n’ya pas longtemps une traque a été lancée contre les contrefacteurs mais l’on se rend compte que la situation reste à l’état. Pour certains, la police, la douane et l’Etat doivent renforcer la sécurité en veillant sur les médicaments qui entrent. Lors d’un séminaire du Programme national de lutte contre le paludisme(PNLP), Alioune Badara Guèye dudit programme avait signalé que sur 100 médicaments de traitement du palu, les 40 sont contrefaits. Cela donne un peu un aperçu sur l’ampleur du danger. Ce problème des médicaments nous pousse à évoquer aussi la vente des denrées alimentaires. Pour quelqu’un qui débarque à Dakar pour la première fois, va se croire dans un souk. Parce que les étals de produits sont dans chaque coin de rue. Du marché du port en passant par Petersen jusqu’à l’avenue Blaise Diagne, les produits campent le décor. On voit sur les étals des sachets de jus, des boîtes de l       ait concentré etc. Ce qui est plus cocasse encore, certains exposent des sachets contenant du saucisson ou du fromage gruyère. Si l’on sait que de graves risques d’intoxication alimentaires peuvent en découler de ces produits. Parce que même s’ils ne sont pas périmés la conservation n’est pas bonne. En réalité, la vente des médicaments contrefaits et des produits alimentaires n’est que la partie visible de l’iceberg. La raison est toute simple. A chaque fois ces questions sont soulevées, des nouvelles mesures sont prises par les autorités pour interdire ces faits. Mais quelques temps après les acteurs attendent que l’orage passe pour reprendre de plus belle leurs activités illicites. Cela nous pousse ainsi à s’interroger sur l’opportunité d’attirer toujours l’attention si tout le monde sait que la presse ne cesse d’en parler. Mais je suis certain qu’après avoir commis une faute la sanction n’est pas aussi sévère, rien ne m’oblige à abdiquer.




1.Posté par iso le 14/10/2011 16:51
A chaque fois ces questions sont soulevées, des nouvelles mesures sont prises par les autorités pour interdire ces faits. Mais quelques temps après les acteurs attendent que l’orage passe pour reprendre de plus belle leurs activités illicites.

ces genres de chose c'est seulement les africains qui vont ca

2.Posté par iso le 14/10/2011 17:05
A chaque fois ces questions sont soulevées, des nouvelles mesures sont prises par les autorités pour interdire ces faits. Mais quelques temps après les acteurs attendent que l’orage passe pour reprendre de plus belle leurs activités illicites.

ces genres de chose c'est seulement les africains qui font ca

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