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Dans cet entretien accordé au quotidien spécialisé, « Sunu Lamb », lu par ndamli.sn, le patron de « Tiger productions » revient également sur ses relations avec son successeur, Gris Bordeaux. Morceaux choisis.
« Je n’ai aucun problème avec Gris Bordeaux. Peut être que la confiance qui était entre nous deux, n’est plus(…). On a vécu dans une même maison pendant six ans. Je le considérai comme mon propre fils. Tous mes fils sont nés devant lui. Mais si Gris ne veut plus que je l’encadre, moi non plus.
22 défaites, cela n’a jamais existé dans l’écurie Fass. Je dois dire que ce qui l’explique, c’est que je n’étais pas là. Pourquoi ? Parce que moi j’ai déjà fait ma carrière. C’est moi qui ai incité tous les athlètes de Fass à pratiquer la lutte. Maintenant s’ils ne veulent pas appliquer à la lettre ce que je leur dis, je n’ai pas de temps à perdre. Je peux perdre deux heures deux heures avec eux, mais encore faudrait-il qu’il respecte ce que je leur dis (...). Chaque année, je fais mon programme d’entrainement et de méthode pour toute la semaine du lundi au vendredi. Je venais toute la semaine. En un moment donné, depuis l’ouverture de la saison, je venais les lundis et les mardis. Le problème de Fass, c’est que chaque athlète se fait coacher par son grand frère ou son soi-disant manager. Mais ces gens là doivent se limiter à gérer l’argent de leurs frères mais pas entrer dans des questions techniques ».
Source: Ndamli.sn
« Je n’ai aucun problème avec Gris Bordeaux. Peut être que la confiance qui était entre nous deux, n’est plus(…). On a vécu dans une même maison pendant six ans. Je le considérai comme mon propre fils. Tous mes fils sont nés devant lui. Mais si Gris ne veut plus que je l’encadre, moi non plus.
22 défaites, cela n’a jamais existé dans l’écurie Fass. Je dois dire que ce qui l’explique, c’est que je n’étais pas là. Pourquoi ? Parce que moi j’ai déjà fait ma carrière. C’est moi qui ai incité tous les athlètes de Fass à pratiquer la lutte. Maintenant s’ils ne veulent pas appliquer à la lettre ce que je leur dis, je n’ai pas de temps à perdre. Je peux perdre deux heures deux heures avec eux, mais encore faudrait-il qu’il respecte ce que je leur dis (...). Chaque année, je fais mon programme d’entrainement et de méthode pour toute la semaine du lundi au vendredi. Je venais toute la semaine. En un moment donné, depuis l’ouverture de la saison, je venais les lundis et les mardis. Le problème de Fass, c’est que chaque athlète se fait coacher par son grand frère ou son soi-disant manager. Mais ces gens là doivent se limiter à gérer l’argent de leurs frères mais pas entrer dans des questions techniques ».
Source: Ndamli.sn
