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Après un an et demi d'enquête, le juge Roger Le Loire, chargé avec son collègue René Grouman de l'affaire dite des biens mal acquis, a lancé, jeudi 12 juillet, un mandat d'arrêt contre Teodoro Nguema Obiang, dit Teodorin, 43 ans, fils du président de Guinée équatoriale. Convoqué mercredi pour un interrogatoire de première comparution à l'issue duquel il aurait été mis en examen, M. Obiang junior ne s'est pas présenté au bureau des doyens du pôle financier à Paris. Il n'avait pas davantage honoré une première convocation en mars. Aux termes du mandat d'arrêt lancé contre lui, "TNO" peut être arrêté dans tout l'espace judiciaire européen et extradé vers la France.
Les juges d'instruction, qui enquêtent parallèlement sur les conditions dans lesquelles trois chefs d'Etat africains (Congo, Gabon et Guinée équatoriale) ont acquis un important patrimoine en France, soupçonnent Teodorin Obiang de détournement de fonds publics, de blanchiment, d'abus de biens sociaux et d'abus de confiance. Attachés à trouver l'origine des fonds qui ont servi à acheter les 14 voitures de luxe saisies à leur demande en septembre 2011, comme les centaines de m3 de meubles et d'objets d'art emportés, en février, lors de la spectaculaire perquisition de l'hôtel particulier de l'avenue Foch à Paris, les deux magistrats ont suffisamment avancé dans leur enquête pour refuser de lever les scellés sur ces biens.
source:lemonde.fr
Les juges d'instruction, qui enquêtent parallèlement sur les conditions dans lesquelles trois chefs d'Etat africains (Congo, Gabon et Guinée équatoriale) ont acquis un important patrimoine en France, soupçonnent Teodorin Obiang de détournement de fonds publics, de blanchiment, d'abus de biens sociaux et d'abus de confiance. Attachés à trouver l'origine des fonds qui ont servi à acheter les 14 voitures de luxe saisies à leur demande en septembre 2011, comme les centaines de m3 de meubles et d'objets d'art emportés, en février, lors de la spectaculaire perquisition de l'hôtel particulier de l'avenue Foch à Paris, les deux magistrats ont suffisamment avancé dans leur enquête pour refuser de lever les scellés sur ces biens.
source:lemonde.fr