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Le président malien Amadou Toumani Touré, renversé par un putsch le 22 mars, a officiellement démissionné ce dimanche 8 avril, ouvrant la voie au départ de la junte installée au pouvoir depuis sa chute.
Prochaine étape : la déclaration de vacance du pouvoir. Puis le président de l'Assemblée nationale Dioncounda Traoré pourra être investi président par intérim du Mali. C'est ce qui a été négocié il y a deux jours entre la médiation burkinabè de la Cédéao et les mutins qui ont accepté de rendre le pouvoir aux civils. Les ministres des Affaires étrangères de la Mauritanie, de l'Algérie et du Niger réunis à Nouakchott réclament, eux, l'application immédiate et inconditionnelle de cet accord.
Les représentants de ces trois pays sont toujours en train de discuter. Notamment de la situation dans le nord du Mali en proie aux rébellions touarègues et aux groupes armés islamistes liés à Aqmi. Le ministre algérien des Affaires étrangères plaide pour une solution politique, négociée entre Maliens. Son homologue nigérien, Mohamed Bazoum, lui, a tenu un discours plus offensif avant le début de la rencontre.
Prochaine étape : la déclaration de vacance du pouvoir. Puis le président de l'Assemblée nationale Dioncounda Traoré pourra être investi président par intérim du Mali. C'est ce qui a été négocié il y a deux jours entre la médiation burkinabè de la Cédéao et les mutins qui ont accepté de rendre le pouvoir aux civils. Les ministres des Affaires étrangères de la Mauritanie, de l'Algérie et du Niger réunis à Nouakchott réclament, eux, l'application immédiate et inconditionnelle de cet accord.
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