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Barack Obama n’a pas voulu que les républicains monopolisent toute l’attention des médias. Mais alors qu’il espérait parler de l’économie qui est en train lentement de se redresser, c’est surtout la politique étrangère qui intéressait les journalistes, et la majorité des questions ont porté sur l’Iran.
Le président américain a fermement défendu l’usage des sanctions qu’il préfère à celui des canons et il a dénoncé ses rivaux républicains qui l’accusent de tiédeur et poussent à la guerre :
« Ces gens n’ont pas beaucoup de responsabilités. Ils ne sont pas commandant en chef. Ça n’est pas un jeu. La désinvolture n’est pas de mise. Si certains d’entre eux pensent qu’il est temps de se lancer dans une guerre, ils devraient le dire et expliquer aux Américains pourquoi exactement ils voudraient faire ça et quelles en seraient les conséquences. Tout le reste n’est que du bavardage ».
Le président Obama qui veut éviter l’erreur commise en Irak, estime que rien ne prouve que l’Iran ait décidé de fabriquer une bombe. Il s’est, par ailleurs, dit bouleversé par la situation en Syrie, mais là encore il pense que ce serait une erreur de lancer « une action militaire unilatérale ou de croire qu’il existe une solution simple ».
A la question d’une journaliste de CBS qui lui demandait ce qu’il dirait à Mitt Romney qui avait déclaré, entre autres gentillesses, que s’il était réélu, « l’Iran aurait la bombe », Barack Obama a simplement répondu en souriant : « Je lui souhaite bonne chance »
Le président américain a fermement défendu l’usage des sanctions qu’il préfère à celui des canons et il a dénoncé ses rivaux républicains qui l’accusent de tiédeur et poussent à la guerre :
« Ces gens n’ont pas beaucoup de responsabilités. Ils ne sont pas commandant en chef. Ça n’est pas un jeu. La désinvolture n’est pas de mise. Si certains d’entre eux pensent qu’il est temps de se lancer dans une guerre, ils devraient le dire et expliquer aux Américains pourquoi exactement ils voudraient faire ça et quelles en seraient les conséquences. Tout le reste n’est que du bavardage ».
Le président Obama qui veut éviter l’erreur commise en Irak, estime que rien ne prouve que l’Iran ait décidé de fabriquer une bombe. Il s’est, par ailleurs, dit bouleversé par la situation en Syrie, mais là encore il pense que ce serait une erreur de lancer « une action militaire unilatérale ou de croire qu’il existe une solution simple ».
A la question d’une journaliste de CBS qui lui demandait ce qu’il dirait à Mitt Romney qui avait déclaré, entre autres gentillesses, que s’il était réélu, « l’Iran aurait la bombe », Barack Obama a simplement répondu en souriant : « Je lui souhaite bonne chance »