Autres articles
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
-
L’Alliance des Etats du Sahel : Pour que la Cedeao cesse de se prendre pour Dieu le père
« Nous renvoyons au mardi 20 décembre le procès », a déclaré à la cour le juge Boiqui Kouadjo, suivant l’avis du médiateur, le bâtonnier Luc Adjé, qui a demandé un nouveau délai. Objectif : faire revenir au tribunal les conseils de Mme Gbagbo, ou dans le cas contraire communiquer la liste des avocats commis d’office pour sa défense.
« J’ai pu obtenir le principe de leur retour (des avocats)… Laissez-nous le temps de finaliser les négociations », a-t-il demandé à la cour. Me Mathurin Dirabou, doyen des conseils de Simone Gbagbo, était présent dans le box de la défense.
Procès au point mort
Le procès de l’ancienne première dame est bloqué depuis des semaines. Fin novembre, Ange Rodrigue Dadjé, l’avocat de l’ex-première dame, avait ainsi quitté la salle d’audience pour protester contre l’attitude du tribunal, qui rejetait la demande de la défense, à savoir la comparution de nombreuses personnalités de la crise ivoirienne.
Parmi eux, l’actuel président de l’Assemblée nationale et ancien chef de la rébellion, Guillaume Soro, l’ancien Premier ministre, Jeannot Kouadio Ahoussou, et l’ex-chef de l’armée, le général Philippe Mangou.
« J’ai pu obtenir le principe de leur retour (des avocats)… Laissez-nous le temps de finaliser les négociations », a-t-il demandé à la cour. Me Mathurin Dirabou, doyen des conseils de Simone Gbagbo, était présent dans le box de la défense.
Procès au point mort
Le procès de l’ancienne première dame est bloqué depuis des semaines. Fin novembre, Ange Rodrigue Dadjé, l’avocat de l’ex-première dame, avait ainsi quitté la salle d’audience pour protester contre l’attitude du tribunal, qui rejetait la demande de la défense, à savoir la comparution de nombreuses personnalités de la crise ivoirienne.
Parmi eux, l’actuel président de l’Assemblée nationale et ancien chef de la rébellion, Guillaume Soro, l’ancien Premier ministre, Jeannot Kouadio Ahoussou, et l’ex-chef de l’armée, le général Philippe Mangou.