Autres articles
-
8ème édition du Grand Prix SENICO : Dernier tour du concours international, les lauréats font frissonner l’assistance avec leurs belles voix
-
[ 🛑DIRECT ] Grand Prix SENICO de Récital de Coran 2024 : Concours International
-
Short stay of Maodo Malick Mbaye in Banjul
-
Audio- Amadou Ba avoue avoir corrompu le Conseil constitutionnel
-
Annulation du décret de Macky Sall : on sait pourquoi le magistrat Cheikh Ndiaye n’a pas siégé
C’est Me Moussa Sarr qui ouvre le bal. Il met en exergue le manque d’humilité de Cheikh Yérim Seck. « Il ne s’intéresse qu’au fric, fastes et fesses. Les conséquences de tout cela, ce sont ces frasques », martèle l’avocat.
Sa consœur Me Fatimata Sall cloue au pilori l’ancien journaliste de Jeune Afrique. « Cet home est un moralisateur qui se permet toujours sur les écrans de télévision de donner des leçons de morale et de politique à tout le monde. Son air d’intellectuel a amené Aïssatou a avoir confiance en lui », dit-elle.
Abdourahmane Sow dit Lénine a plongé la salle dans l’hilarité totale en ironisant sur les performances sexuelles du journaliste en ces termes : « Yérim dit avoir frotté Aïssatou pendant 15 minutes avant de la pénétrer. Ceci démontre que ce journaliste prétentieux est un super homme, un bel étalon. Un prédateur en face de sa proie. En France, il est démontré qu’un acte sexuel dure au maximum 8 minutes, mais Yérim, le « expert » peut tenir 15 minutes », s’étonne la robe noire.
Il se fera voler la vedette par son confrère Me Youssou Camara. Ce dernier s’est employé à démasquer l’accusé qui, à l’en croire, « jeune les lundis et jeudis », mais « réserve les autres jours pour violer ».
Me Aly Sarr a eté plus violent. « Yérim est un arrogant, un violeur, un maitre chanteur, un violeur ». Comme si cela ne suffisait pas, il poursuit « Dieu n’aime pas les vandales. Et Mr Seck est une brute qui ne pense qu’au sexe. Il a le sexe plus acerbe que la plume, il ne pense qu’au sexe. Il ignore que frotter ne veut pas dire pénétrer, ce malade mental mérite une sanction exemplaire ».
La sortie de Me Ousmane Sèye est la plus sévère . Il tance le journaliste en le décrivant comme un homme égoïste qui a prémédité son acte dans un but précis. « Cheikh Yérim Seck est méchant et égoïste, il avait prémédité de marquer Aïssatou à jamais. Il savait qu’elle va partir en France, alors qu’il s’est dit qu’elle sera à lui », martèle t-il.
Sa consœur Me Fatimata Sall cloue au pilori l’ancien journaliste de Jeune Afrique. « Cet home est un moralisateur qui se permet toujours sur les écrans de télévision de donner des leçons de morale et de politique à tout le monde. Son air d’intellectuel a amené Aïssatou a avoir confiance en lui », dit-elle.
Abdourahmane Sow dit Lénine a plongé la salle dans l’hilarité totale en ironisant sur les performances sexuelles du journaliste en ces termes : « Yérim dit avoir frotté Aïssatou pendant 15 minutes avant de la pénétrer. Ceci démontre que ce journaliste prétentieux est un super homme, un bel étalon. Un prédateur en face de sa proie. En France, il est démontré qu’un acte sexuel dure au maximum 8 minutes, mais Yérim, le « expert » peut tenir 15 minutes », s’étonne la robe noire.
Il se fera voler la vedette par son confrère Me Youssou Camara. Ce dernier s’est employé à démasquer l’accusé qui, à l’en croire, « jeune les lundis et jeudis », mais « réserve les autres jours pour violer ».
Me Aly Sarr a eté plus violent. « Yérim est un arrogant, un violeur, un maitre chanteur, un violeur ». Comme si cela ne suffisait pas, il poursuit « Dieu n’aime pas les vandales. Et Mr Seck est une brute qui ne pense qu’au sexe. Il a le sexe plus acerbe que la plume, il ne pense qu’au sexe. Il ignore que frotter ne veut pas dire pénétrer, ce malade mental mérite une sanction exemplaire ».
La sortie de Me Ousmane Sèye est la plus sévère . Il tance le journaliste en le décrivant comme un homme égoïste qui a prémédité son acte dans un but précis. « Cheikh Yérim Seck est méchant et égoïste, il avait prémédité de marquer Aïssatou à jamais. Il savait qu’elle va partir en France, alors qu’il s’est dit qu’elle sera à lui », martèle t-il.
