-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
"Carlos Gomes Junior ne se trouverait pas chez lui au moment de l’assaut, mais au siège du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), son parti", a-t-on appris à Bissau.
Toutefois, sa maison, située à proximité de cet endroit, était encore en flammes, bien après le passage des militaires.
Peu avant l’attaque, son challenger Kumba Yalla avait appelé au boycott du scrutin du second tour de la présidentielle, prévu le 29 avril, tout en mettant en garde ceux qui battraient campagne.
Le président de la République par intérim, Raimundo Preira, aurait également été placé sous détention.
La Radiodiffusion télévision du Portugal (RTP) décrit une capitale bissau-guinéenne calme où ne circulent que les militaires.
Toutes les radios ont cessé d’émettre, à exception de la RTP et de Radio France internationale (RFI), selon le journaliste contacté par l’APS.
Carlos Gomes Junior avait obtenu au premier tour, le 18 mars, 48,97% des voix et Kumba Yala, 23,26%. La campagne électorale pour le second tour devait débuter vendredi, pour s’achever le 27 avril.
La tension est vive en Guinée-Bissau à cause de la contestation des résultats de cette élection présidentielle "non concluante", organisée pour trouver un remplaçant au président Malam Bacai Sanha décédé le 9 janvier 2012.