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Ils ont dénoncé l’acte posé par l’Algérie qui, dit-il, «vient de servir, une fois de plus, de scène à une série d'actes de persécution et de brimade, opérés en flagrant délit par les autorités algériennes à la veille de l’organisation, à Alger, d’un Forum africain d’investissements et d’affaires. L’Algérie a montré son vrai visage. Nous lançons un appel solennel aux instances internationales pour qu'elles interviennent de toute urgence pour mettre fin au massacre de nos frères subsahariens enfermés dans des bungalows sans autorisation d’en sortir, sans liaisons téléphoniques, ni moyens de communication».
Ladite structure de hausser le ton pour dénoncer le sort de ces migrants subsahariens qui «affrontent l'hostilité populaire, vivent dans la précarité et subissent plusieurs formes d’injustice. Nous dénonçons avec fermeté l’embarcation, au faciès, de toute personne noire de peau quelle que soit sa nationalité et sa situation administrative, y compris les femmes enceintes, les enfants, des mamans avec leurs bébés. Ce n’est point gracieux que M. Farouk Ksentini (président algérien de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l’homme) déclare que le Sida se propage du fait de la présence des migrants subsahariens.
Propos tenus par celui qui doit défendre les droits de l’homme», peste le Bureau exécutif. «Comment peut-on concilier ses ambitions diplomatiques sur le Continent et le racisme dont ses responsables font preuves ?», s’est interrogée ladite structure qui, dans la même lancée se félicite «de la politique migratoire du Maroc qui vise l’intégration économique et sociale de personne en situation irrégulière issues des pays d’Afrique subsaharienne.
Le Maroc a procédé à la régularisation des migrants, sans condescendance, ni arrogance, ni dénigrement, ni discrimination», se réjouit le Bureau exécutif dudit Conseil. «Nous émettons les protestations les plus fermes contre tous ces actes de persécution, de brimade et d'intimidation qui constituent une tentative délibérée des autorités Algériennes. Le tribunal de l’histoire jugera, confie ledit bureau exécutif devant ces faits et propos qu’il qualifie d’«injustice et de politique de façade envers le continent».