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Faits Divers

ACTES CONTRE-NATURE ET ATTENTAT A LA PUDEUR : Un enseignant marié surpris en pleins ébats avec un Gabonais


Lundi 23 Janvier 2012

Un enseignant en service au ministère de l’éducation nationale, marié a été surpris en pleins ébats avec un étudiant gabonais, jeudi vers 22 heures à la Place du Souvenir sur la corniche. Ils sont en garde à vue en attendant leur déferrement.


ACTES CONTRE-NATURE ET ATTENTAT A LA PUDEUR : Un enseignant marié surpris en pleins ébats avec un Gabonais
SENXIBAR-O. G., un enseignant de 40 ans, marié et en service au ministère de l’éducation nationale a été trouvé dans une posture indélicate et avilissante sur la corniche à hauteur de la Place du Souvenir. Des policiers l’ont pris en flagrant délit d’actes contre-nature avec un jeune étudiant gabonais de 25 ans dénommé Ulrich L. cela s’est passé dans la nuit d’avant-hier 19 janvier. Les faits qui ont perdu les deux homosexuels sont SENXIBAR-véritablement cocasses. Tout commence vers 22 heures, cette nui-là quand un agent de police en faction à la Place du Souvenir remarque la présence sur les lieux de deux individus dans une position qu’il suspectait à première vue. Décidant d’y voir plus clair, sa religion a été faite qu’ils s’attelaient à des rapports sexuels contre-nature. Il en saisit aussitôt la police du Point E dont les éléments débarquent sur les lieux aussitôt qu’ils ont été informés. Ce qui leur a permis de prendre les deux homosexuels sur les faits. Ils étaient en pleins ébats après les préliminaires quand les policiers leur sont tombés dessus. A cet instant, l’enseignant jouait le rôle de la femme. Il était agrippé de ses deux mains sur un rocher pendant qu’Ulrich L. avait fini d’introduire son sexe entre les fesses. Surpris dans cette position, l’étudiant gabonais a tenté de s’échapper en plongeant dans la mer. Pendant ce temps, O. G. se faisait maîtriser tranquillement. Au bout de quelques minutes, Ulrich avait fini par se résoudre à sortir de l’eau, prenant le soin de se débarrasser de son préservatif. Mais le second préservatif qui se trouvait sur le rocher a été saisi par les policiers. Interrogé au Poste de Police, O. G. a reconnu sans ambages les faits. Prolixe, il a révélé qu’il se livrait à cette pratique depuis tout jeune, mais qu’il l’avait cessé depuis son mariage en 2008. Son partenaire a également reconnu les faits, mais tous deux ont soutenu qu’il n’y a pas eu de pénétration. Après leurs auditions, ils ont tous les deux étés gardés à vue et le préservatif consigné au poste de police pour les besoins de l’enquête ouverte. En attendant leur déferrement.
Source Le Populaire -Senxibar



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