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Convocation par le doyen des juges
Face à ces militants ce jeudi, Ousmane Sonko informe qu’il a été convoqué par le doyen des juges, raison de son absence lors de la conférence de Presse qui s’est tenue à 17 heures. Il annonce l’ouverture du procès des 94 milliards, avec la certitude qu’il aura gain de cause in fine devant Mamour Diallo et cie.
« Le doyen des juges m’a appelé, il m’a entendu. J’ai confirmé tout ce que j’avais dit sur ma plainte. J’ai versé le montant de la consignation. Désormais, la machine judiciaire est enclenchée. J’ai fait une double plainte. D’abord sur l’affaire des 94 milliards, ensuite, contre la commission parlementaire. »
Commission d’enquête parlementaire
Partant de là, Sonko estime que la plénière de la commission d’enquête parlementaire, qui doit se tenir ce vendredi 11 octobre au sein de hémicycle n’a plus sa raison d’être. Du moment que la justice a pris les choses en main, conformément au règlement intérieur de l’Assemblée Nationale, en son article 48. Ainsi, il ne compte pas se présenter. Et d’ailleurs, il est annoncé à Ziguinchor au même jour, pour une tournée.
5 Plans de liquidation
Dans sa logique de terrasser l’adversaire, le leader du Pastef dévoile ce qu’il dit être un agenda caché du pouvoir en place pour le liquider. Il les a résumés en cinq (5) points. Il affirme que le pouvoir veut l’atteindre en l’accusant de : diffamation ; de diffusion de fausses nouvelles où le mandat de dépôt est obligatoire ; de dénonciation calomnieuse ; de trouble à l’ordre public et d’atteinte à la sûreté de l’Etat ; recel de document.
Poursuivant, Sonko affirme que ces accusations sont guidées par la volonté de salir son casier judiciaire, prendre son mandat de député.
Dialogue nationale, une malice
Parlant du dialogue national, le leader du Pastef fait part d’une autre malice de Macky Sall, consistant à vouloir se réconcilier avec tout le monde. Ensuite, voter une loi d’amnistie générale, ce qui le permettra d’être libre lorsqu’il va quitter le pouvoir.
Instrumentalisation de la Justice
Ousmane Sonko a aussi dénoncé l’attitude du bâtonnier de l’ordre des avocats, Me Pape Leyti Ndiaye, qui empêché la tenue d’une conférence de Presse de ses avocats. Il pense qu’il fait du deux poids deux mesures, car il était là les autres les avocats de Mamour Diallo communiquaient sur ce dossier sans qu’il ne réagisse. Le leader du Pastef en a dit de même des notaires, qu’il dit avoir été aussi instrumentalisés. « Le pouvoir les a demandés de dire tout ce qu’il savait de moi ».
Face à ces militants ce jeudi, Ousmane Sonko informe qu’il a été convoqué par le doyen des juges, raison de son absence lors de la conférence de Presse qui s’est tenue à 17 heures. Il annonce l’ouverture du procès des 94 milliards, avec la certitude qu’il aura gain de cause in fine devant Mamour Diallo et cie.
« Le doyen des juges m’a appelé, il m’a entendu. J’ai confirmé tout ce que j’avais dit sur ma plainte. J’ai versé le montant de la consignation. Désormais, la machine judiciaire est enclenchée. J’ai fait une double plainte. D’abord sur l’affaire des 94 milliards, ensuite, contre la commission parlementaire. »
Commission d’enquête parlementaire
Partant de là, Sonko estime que la plénière de la commission d’enquête parlementaire, qui doit se tenir ce vendredi 11 octobre au sein de hémicycle n’a plus sa raison d’être. Du moment que la justice a pris les choses en main, conformément au règlement intérieur de l’Assemblée Nationale, en son article 48. Ainsi, il ne compte pas se présenter. Et d’ailleurs, il est annoncé à Ziguinchor au même jour, pour une tournée.
5 Plans de liquidation
Dans sa logique de terrasser l’adversaire, le leader du Pastef dévoile ce qu’il dit être un agenda caché du pouvoir en place pour le liquider. Il les a résumés en cinq (5) points. Il affirme que le pouvoir veut l’atteindre en l’accusant de : diffamation ; de diffusion de fausses nouvelles où le mandat de dépôt est obligatoire ; de dénonciation calomnieuse ; de trouble à l’ordre public et d’atteinte à la sûreté de l’Etat ; recel de document.
Poursuivant, Sonko affirme que ces accusations sont guidées par la volonté de salir son casier judiciaire, prendre son mandat de député.
Dialogue nationale, une malice
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Instrumentalisation de la Justice
Ousmane Sonko a aussi dénoncé l’attitude du bâtonnier de l’ordre des avocats, Me Pape Leyti Ndiaye, qui empêché la tenue d’une conférence de Presse de ses avocats. Il pense qu’il fait du deux poids deux mesures, car il était là les autres les avocats de Mamour Diallo communiquaient sur ce dossier sans qu’il ne réagisse. Le leader du Pastef en a dit de même des notaires, qu’il dit avoir été aussi instrumentalisés. « Le pouvoir les a demandés de dire tout ce qu’il savait de moi ».