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occupées par les violences suivies de meurtres à Tamba, à l'est du Sénégal, dans le cadre de la campagne électorale, cinq organisations de la société civile dont la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), la Rencontre Africaine pour la Défense des
Droits de l’Homme (RADDHO), ont exigé des autorités l'ouverture d'une enquête afin de traduire les auteurs en justice, selon le communiqué transmis à PressAfrik.
"Nos organisations appellent en outre les autorités compétentes à ouvrir des enquêtes sur
Tous les actes de violence survenus depuis le début de la campagne électorale et de traduire
Leurs auteurs en justice", lit-on dans la note signée de Me Assane Dioma Ndiaye et compagnie.
Les auteurs du communiqué rappellent aux candidats et coalitions "l’obligation qui leur incombe
d’appeler leurs militants et sympathisants à respecter la liberté de manifestation,
d’expression et d’opinion des adversaires politiques et de renoncer à tout recours à la
violence".
"Nos organisations rappellent que ces violences fragilisent la sécurité des journalistes et
groupes de presse au Sénégal et constituent une grave violation de la liberté d’expression.
Elles contribuent surtout à déprécier la qualité de leur métier", affirment-ils.
Ils exhortent les autorités sénégalaises à faire "tout ce qui est en leur pouvoir pour
Endiguer les violences qui ont eu lieu et de veiller au respect des droits aux libertés
d’opinion, d’expression et de réunion pacifique".
Dans le cadre
de la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février 2019, des actes de violences entre sympathisants de partis politiques ont entraîné la mort
d’au moins un individu à Tambacounda. Ibrahima Diop, tailleur de profession, est mort lors
d’une bagarre. Au moins quatre journalistes ont été blessés et des voitures incendiées.
Droits de l’Homme (RADDHO), ont exigé des autorités l'ouverture d'une enquête afin de traduire les auteurs en justice, selon le communiqué transmis à PressAfrik.
"Nos organisations appellent en outre les autorités compétentes à ouvrir des enquêtes sur
Tous les actes de violence survenus depuis le début de la campagne électorale et de traduire
Leurs auteurs en justice", lit-on dans la note signée de Me Assane Dioma Ndiaye et compagnie.
Les auteurs du communiqué rappellent aux candidats et coalitions "l’obligation qui leur incombe
d’appeler leurs militants et sympathisants à respecter la liberté de manifestation,
d’expression et d’opinion des adversaires politiques et de renoncer à tout recours à la
violence".
"Nos organisations rappellent que ces violences fragilisent la sécurité des journalistes et
groupes de presse au Sénégal et constituent une grave violation de la liberté d’expression.
Elles contribuent surtout à déprécier la qualité de leur métier", affirment-ils.
Ils exhortent les autorités sénégalaises à faire "tout ce qui est en leur pouvoir pour
Endiguer les violences qui ont eu lieu et de veiller au respect des droits aux libertés
d’opinion, d’expression et de réunion pacifique".
Dans le cadre
de la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février 2019, des actes de violences entre sympathisants de partis politiques ont entraîné la mort
d’au moins un individu à Tambacounda. Ibrahima Diop, tailleur de profession, est mort lors
d’une bagarre. Au moins quatre journalistes ont été blessés et des voitures incendiées.