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L’objectif de cet atelier « est d’impliquer l’ensemble des acteurs nationaux concernés par le secteur minier, pour enrichir leur projet de texte afin qu’ils prennent en compte les préoccupations actuelles et futures de toutes les parties prenantes« , a-t-il expliqué.
Le ministre de l’industrie et des Mines intervenait au cours de la cérémonie officielle d’ouverture d’un atelier portant sur le projet de code minier communautaire de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Selon Aly Ngouille Ndiaye, cet atelier « constitue un dernier moment pour des échanges approfondis supplémentaires« , en vue de la finalisation la contribution du Sénégal pour une prise en charge des enjeux du secteur.
Il va aussi permettre d’amender le projet de code communautaire révisé et les règlements d’application et permettre à la commission de l’UEMOA de prendre en compte les préoccupations de chaque Etat membre, a-t-il signalé.
Ce document servira par la suite de support dans le cadre de la participation des délégués nationaux à l’atelier régional prévu à Ouagadougou.
Le code minier communautaire, adopté par l’UEMOA le 22 décembre 2003, vise à promouvoir le secteur minier au sein des pays membres et à assurer « un traitement égalitaire » des investisseurs.
Il devrait permettre l’instauration d’un « climat propice » aux investisseurs miniers, la diversification de la production minière, la transformation des substances minérales, la coexistence mines-industriels-artisans miniers et la préservation de l‘artisanat.
Ce texte communautaire, « adopté dans un contexte de récession, (…) demande aujourd’hui, d’être révisé au regard de l’évolution du secteur minier« , a estimé le ministre de l’Industrie et des Mines.
Il explique que c’est dans ce sens que la commission a entrepris la relecture de la politique minière commune, du code minier communautaire, de même que l’élaboration de textes réglementaires communs « en synergie » avec le texte correspondant de la CEDEAO en intégrant « la vision minière » proposée par les leaders africains pour le continent.
Le ministre de l’industrie et des Mines intervenait au cours de la cérémonie officielle d’ouverture d’un atelier portant sur le projet de code minier communautaire de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).
Selon Aly Ngouille Ndiaye, cet atelier « constitue un dernier moment pour des échanges approfondis supplémentaires« , en vue de la finalisation la contribution du Sénégal pour une prise en charge des enjeux du secteur.
Il va aussi permettre d’amender le projet de code communautaire révisé et les règlements d’application et permettre à la commission de l’UEMOA de prendre en compte les préoccupations de chaque Etat membre, a-t-il signalé.
Ce document servira par la suite de support dans le cadre de la participation des délégués nationaux à l’atelier régional prévu à Ouagadougou.
Le code minier communautaire, adopté par l’UEMOA le 22 décembre 2003, vise à promouvoir le secteur minier au sein des pays membres et à assurer « un traitement égalitaire » des investisseurs.
Il devrait permettre l’instauration d’un « climat propice » aux investisseurs miniers, la diversification de la production minière, la transformation des substances minérales, la coexistence mines-industriels-artisans miniers et la préservation de l‘artisanat.
Ce texte communautaire, « adopté dans un contexte de récession, (…) demande aujourd’hui, d’être révisé au regard de l’évolution du secteur minier« , a estimé le ministre de l’Industrie et des Mines.
Il explique que c’est dans ce sens que la commission a entrepris la relecture de la politique minière commune, du code minier communautaire, de même que l’élaboration de textes réglementaires communs « en synergie » avec le texte correspondant de la CEDEAO en intégrant « la vision minière » proposée par les leaders africains pour le continent.