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S’il ne s’agit pas d’un flop total, le deuxième concert de casseroles initié par Ousmane Sonko hier, jeudi, n’a pas eu le même succès que le premier d’il y a une semaine. A l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), le mot d’ordre a été suivi, mais la manifestation a viré à l’Intifada.
D’après L’Observateur de ce vendredi, les urgences du service médical de l’UCAD étaient débordées. Le journal affirme avoir constaté des corps ensanglantés, des visages défigurés et des doigts sectionnés
A l’origine du basculement, d’après la même source, la coïncidence entre le concert de casseroles et les «72 heures» de l’Association des étudiants ressortissants de Casamance nommé Kekendo.
A 20 heures 15, armés d’ustensiles de cuisine et de vuvuzelas, un groupe d’étudiants prend d’assaut le pavillon E pour répondre à l’appel de Sonko. Problème : à quelques mètres de là, au terrain de l’UCAD, les membres de Kekendo faisaient la fête au rythme des sonorités de leur terroir.
Constant que le bruit des casseroles gênait leur musique, ils ont demandé aux manifestants de s’éloigner. Ce que ces derniers ont refusé de faire. Ils recevront une pluie de pierres à laquelle ils ripostèrent.
C’était le chaos. Les étudiants couraient dans tous les sens, d’après L’Observateur.
D’après L’Observateur de ce vendredi, les urgences du service médical de l’UCAD étaient débordées. Le journal affirme avoir constaté des corps ensanglantés, des visages défigurés et des doigts sectionnés
A l’origine du basculement, d’après la même source, la coïncidence entre le concert de casseroles et les «72 heures» de l’Association des étudiants ressortissants de Casamance nommé Kekendo.
A 20 heures 15, armés d’ustensiles de cuisine et de vuvuzelas, un groupe d’étudiants prend d’assaut le pavillon E pour répondre à l’appel de Sonko. Problème : à quelques mètres de là, au terrain de l’UCAD, les membres de Kekendo faisaient la fête au rythme des sonorités de leur terroir.
Constant que le bruit des casseroles gênait leur musique, ils ont demandé aux manifestants de s’éloigner. Ce que ces derniers ont refusé de faire. Ils recevront une pluie de pierres à laquelle ils ripostèrent.
C’était le chaos. Les étudiants couraient dans tous les sens, d’après L’Observateur.