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Que ceux qui sont concernés par ce qu'il est convenu d'appeler les biens mal acquis se le tiennent pour dit! Parallèlement aux auditions subies, des instructions fermes ont été données aux services des impôts et domaines, de collaborer à fond pour mettre au clair, tout bien ou participation au nom de personnes suspectées. Ces mêmes instructions ont été transmises aux banques et études de notaire, en vue de produire toutes informations pouvant permettre de démêler le montage d'opérations commerciales ou d'acquisition de biens meubles ou immeubles... Pour élucider cela, l’Etat devrait plutôt de pencher sur ces directeurs de banques, des étrangers, qui du jour au lendemain se font affecter ou démissionnent pour rentrer chez eux sans être audités emportant avec aux des sommes colossales confiée par les dignitaires de l’ancien régime cités dans la traque des biens mal acquis
Un quotidien de la place en a fait une enquête, mais l’Etat devrait être plus prudent sur ces « affectations » ou « démissions » douteuses. Avant de bénéficier de quittance devant les permettre de quitter le pays, ils devraient être audités et passer leur patrimoine au crible. Des sources renseignent qu’ils seraient les plus gros «banques personnelles» des dignitaires de l’ancien régime qui sont soupçonnés de s’enrichir de matière illicite.
Quoi qu’il puisse en être, l’Etat doit prendre les devants et s’intéresser à ces chefs d’entreprises qui sont généralement des banquiers venus d’Afrique ou d’ailleurs. La traque des biens mal acquis aura, de ce fait, de nouvelles cibles et du coup une nouvelle mission qui sera parallèle à celle déjà entamée.
dakaractu
Un quotidien de la place en a fait une enquête, mais l’Etat devrait être plus prudent sur ces « affectations » ou « démissions » douteuses. Avant de bénéficier de quittance devant les permettre de quitter le pays, ils devraient être audités et passer leur patrimoine au crible. Des sources renseignent qu’ils seraient les plus gros «banques personnelles» des dignitaires de l’ancien régime qui sont soupçonnés de s’enrichir de matière illicite.
Quoi qu’il puisse en être, l’Etat doit prendre les devants et s’intéresser à ces chefs d’entreprises qui sont généralement des banquiers venus d’Afrique ou d’ailleurs. La traque des biens mal acquis aura, de ce fait, de nouvelles cibles et du coup une nouvelle mission qui sera parallèle à celle déjà entamée.
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