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Société

Traque des biens mal acquis : Karim Wade et Madické Niang mouillés dans l'affaire des ICS


Jeudi 18 Avril 2013

Traque des biens mal acquis : Karim Wade et Madické Niang mouillés dans l'affaire des ICS
Dans l'affaire de la vente des Industries Chimiques du Sénégal (ICS), Karim Wade et Madické Niang sont mouillés. D'après une source proche de l'enquête, le fils de l'ancien président et ministre de l'Energie d'alors, en association avec Madické Niang, l'ancien ministre des Affaires Etrangères, ont créé une société du nom de Senfair. Selon toujours notre source, l'enquête a révélé que cette société Senfair a servi d'intermédiaire entre l'Etat du Sénégal et les bailleurs indiens pour la vente des ICS. 
Il nous revient que cette même société aurait récolté plusieurs milliards dans cette affaire, sans aucune traçabilité au niveau du Trésor public sénégalais. Notre source nous renseigne que tous ceux qui sont mouillés dans cette affaire seront convoqués dans les prochaines heures. 
dakaratu




1.Posté par kathior ka le 19/04/2013 02:41
État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.


« Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la ...

2.Posté par kathior ka le 19/04/2013 02:42
chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti. »

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

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