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Les commissions mises en place après l’ouverture du dialogue national lundi, ont poursuivi leurs travaux à huis clos hier. Parmi les points évoqués, figurent la date de la présidentielle, le cas Karim Wade mais aussi les candidats recalés.
Pour ce qui est de la transition, la commission dirigée par le ministre de l’Intérieur, Me Sidiki Kaba, suggère que le Président Macky Sall reste au pouvoir jusqu’après l’élection retenue pour le 2 juin.
Sur ce point précis, rapporte Les Échos, Zahra Iyane Thiam, bien que membre du camp présidentiel, n’est pas d’accord. La Directrice de l’Agence sénégalaise de promotion des exportations (Asepex) se démarque. Droite dans ses bottes, elle dénonce « une violation de l’article 3 de la Constitution. »
Lequel stipule, scande l’apériste : « La souveraineté nationale appartient au peuple sénégalais qui l’exerce par ses représentants ou par voie référendaire. Aucune section du peuple, ni aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté. »
Par conséquent, Zahra Iyane Thiam conclut que cette décision va à l’encontre des lois et règlements du pays.
Pour ce qui est de la transition, la commission dirigée par le ministre de l’Intérieur, Me Sidiki Kaba, suggère que le Président Macky Sall reste au pouvoir jusqu’après l’élection retenue pour le 2 juin.
Sur ce point précis, rapporte Les Échos, Zahra Iyane Thiam, bien que membre du camp présidentiel, n’est pas d’accord. La Directrice de l’Agence sénégalaise de promotion des exportations (Asepex) se démarque. Droite dans ses bottes, elle dénonce « une violation de l’article 3 de la Constitution. »
Lequel stipule, scande l’apériste : « La souveraineté nationale appartient au peuple sénégalais qui l’exerce par ses représentants ou par voie référendaire. Aucune section du peuple, ni aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté. »
Par conséquent, Zahra Iyane Thiam conclut que cette décision va à l’encontre des lois et règlements du pays.