Autres articles
-
ICS- Le PDG du groupe INDORAMA, Prakash Lohia débarque en urgence à Dakar
-
Rapport : À l’ANER, 23 stagiaires se tapent 133 millions F CFA, une employée en détachement continue de percevoir son salaire
-
Mamadou Lamine Diallo : "Bravo, Diomaye a satisfait l'une de mes vieilles revendications"
-
FONCIER : Les constats et instructions du Pr. Diomaye lors de sa visite surprise à Mbour
-
Premier voyage hors d'Afrique : un pays d’Asie drague Diomaye Faye
De son point de vue, "il y a une absence totale de communication sur ce nouveau service, juste quelques affiches à Dakar et spots à la télévision, le Sénégal des profondeurs est oublié par l’ARTP".
"La conséquence est que la majorité des Sénégalais ne sait même pas que le service existe, ou si elle est au courant, n’en comprend pas le fonctionnement", poursuit cette association.
"Aujourd’hui, après 1 an de portabilité, à l’heure du bilan, le chemin à parcourir reste entier car les données manquent pour évaluer le service par rapport aux objectifs déclarés par L’ARTP, lors de son lancement, le 1er septembre 2015", tranche l’ASUTIC.
Aussi exige-t-elle de l’ARTP "la mise en place d’un signal sonore pour chaque opérateur", la portabilité des numéros n’étant "utile que si les destinataires sont au courant de son existence". D’où la nécessité d’une campagne de communication sur la portabilité "sur toute l’étendue du territoire national et dans les langues locales les plus parlées".
L’ASUTIC demande par ailleurs à l’ARTP de "procéder à une régulation asymétrique des tarifs d’interconnexion car leurs baisses symétriques a montré ses limites". Il l’exhorte également à "procéder au dégroupage de la boucle locale pour qu’enfin le monopole de 20 ans d’Orange sur le réseau filaire soit cassé pour une baisse des tarifs du Wifi".