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’’Le président de la République a opté pour une diplomatie de bon voisinage. Une diplomatie osée et tranquille mais pas une diplomatie de l’arrogance’’, a-t-il répondu à l’interpellation d’un député sur des propos attribués à Yaya Jammeh de la Gambie à l’endroit des chefs d’Etat sénégalais successifs.
D'après l'Agence de presse sénégalaise(APS), le ministre informe que ’’Ce que nous devrions faire sur le plan diplomatique a été fait. Mais, nous ne souhaitons pas en dire d’avantage’’.
Mankeur Ndiaye a fait observer que ’’l’option, c’est d’être calme et serein’’, soulignant que le continent africain ’’a beaucoup de défis à relever’’. Dans la foulée, il a rappelé que le président Sall a décliné les axes et les orientations de sa politique étrangères à Paris l’institut français des relations internationales (IFRI), depuis le 29 novembre 2011. ’’Depuis qu’il est aux affaires, c’est cette vision qu’il essaie de mettre en œuvre étape après étape’’, a-t-il ajouté, précisant que cette politique étrangère s’appuie sur le bon voisinage, la médiation, la paix, l’influence et la souveraineté.
’’Les choix, les orientations et les axes sont définis ici à Dakar et non ailleurs’’, a-t-il dit, citant d’autres pans de la politique étrangère sur le plan économique, panafricain et sous-régional, etc.
’’Nous avons tellement de responsabilités internationales et de crises dans la sous-région que nous n’allons pas à polémiquer avec qui ça soit’’, a martelé le ministre sénégalais des Affaires étrangère.
Pour rappel, le ministre des Affaires étrangères s’exprimait lors de l’examen du projet de son budget 2016 qui est arrêté à la somme de 57.499.478.360 FCFA, soit une augmentation de 9.113.956.640 FCFA en valeur absolue et de 18,84% en valeur relative.
D'après l'Agence de presse sénégalaise(APS), le ministre informe que ’’Ce que nous devrions faire sur le plan diplomatique a été fait. Mais, nous ne souhaitons pas en dire d’avantage’’.
Mankeur Ndiaye a fait observer que ’’l’option, c’est d’être calme et serein’’, soulignant que le continent africain ’’a beaucoup de défis à relever’’. Dans la foulée, il a rappelé que le président Sall a décliné les axes et les orientations de sa politique étrangères à Paris l’institut français des relations internationales (IFRI), depuis le 29 novembre 2011. ’’Depuis qu’il est aux affaires, c’est cette vision qu’il essaie de mettre en œuvre étape après étape’’, a-t-il ajouté, précisant que cette politique étrangère s’appuie sur le bon voisinage, la médiation, la paix, l’influence et la souveraineté.
’’Les choix, les orientations et les axes sont définis ici à Dakar et non ailleurs’’, a-t-il dit, citant d’autres pans de la politique étrangère sur le plan économique, panafricain et sous-régional, etc.
’’Nous avons tellement de responsabilités internationales et de crises dans la sous-région que nous n’allons pas à polémiquer avec qui ça soit’’, a martelé le ministre sénégalais des Affaires étrangère.
Pour rappel, le ministre des Affaires étrangères s’exprimait lors de l’examen du projet de son budget 2016 qui est arrêté à la somme de 57.499.478.360 FCFA, soit une augmentation de 9.113.956.640 FCFA en valeur absolue et de 18,84% en valeur relative.