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Le garde des sceaux Sidiki Kaba a, en conférence de presse cet après midi, noté que le verdict du procès Karim Wade n’était pas une décision politique et que le projet de couler un adversaire n’existait pas. « Nous ne célébrons pas une victoire (…) on a entendu la parole inflammatoire, par moment impertinente et violente et le chantage à la menace du chaos. Lorsque ce procès commençait, il n’y avait pas de question politique, c’est une affaire judiciaire, mais vous avez entendu dire que tout a été programmé, fait et décidé pour ôter au prévenu tous ses droits civiques et familiaux. Le juge en toute indépendance, a estimé qu’il n’y avait pas corruption. Si le projet politique existait pour précisément couler un adversaire politique, il va de soi que le résultat n’est pas atteint. Ce sont des accusations qui étaient donc vides et délibérés qui visaient à faire croire que la justice est une justice sous les bottes. »
Le ministre ajoutera par ailleurs que la pression venait d’ailleurs, quand on a voulu présenter un candidat avant l'heure et « cela était de nature à poser une pression sur la justice ». Il a fini par dire qu’il ne pense toujours pas que cette accusation puisse prospérer « surtout qu’il faut retenir que l'agenda politique n’a rien à avoir avec l’agenda judiciaire ».
Sur la possibilité de pourvoi en cassation des avocats de Karim Wade, le ministre a rappelé que toutes les décisions prises au niveau de la CREI sont susceptibles d’un pourvoi en cassation. « Dans un délai de six jours le procureur spécial peut faire appel et les avocats des prévenus peuvent aussi faire appel et en ce moment l’affaire sera à nouveau examiné devant la Cour suprême et la décision dépendra de cette haute juridiction ».
dakaractu
Le ministre ajoutera par ailleurs que la pression venait d’ailleurs, quand on a voulu présenter un candidat avant l'heure et « cela était de nature à poser une pression sur la justice ». Il a fini par dire qu’il ne pense toujours pas que cette accusation puisse prospérer « surtout qu’il faut retenir que l'agenda politique n’a rien à avoir avec l’agenda judiciaire ».
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