-
Réforme des institutions : Le président Faye invité à appliquer les recommandations du "Pacte national de bonne gouvernance démocratique"
-
Bande des filaos : la Cour suprême se penche sur le décret de Macky Sall
-
GAMBIE : Le Président Diomaye explique pourquoi il a réservé sa première sortie à la Mauritanie
-
Sortie du franc CFA : ce que Felwine Sarr conseille à Diomaye Faye
-
Motion de censure : la réponse sèche d’Abdou Mbow à Moustapha Sarré
Dans un document parcouru par Enquête et signé par Khalifa Ababacar Sall, il est rappelé que "le Conseil constitutionnel s'est basé sur les transmissions par les Procureurs généraux près la Cour d'Appel et la Cour suprême de l'arrêt numéro 454, rendu le 30 août 2018 par la première Cour citée, condamnant le candidat Khalifa Sall à 5 ans d'emprisonnement et de l'arrêt numéro 001 rendu le 03 janvier 2019, par la seconde Cour citée, rejetant le pourvoi en cassation de Khalifa Sall".
Khalifa Sall et son mandataire ont ensuite indiqué au Conseil constitutionnel que "le Procureur général près la cour d'Appel et le Procureur général près la Cour suprême n'ont aucune qualité pour s'immiscer dans l'élection présidentielle". Avant de déclarer que "le Conseil constitutionnel ne doit pas méconnaître le caractère suspensif du délai et du recours du rabat d'arrêt. Bref, "M. Khalifa Ababacar Sall n'a jamais été privé, de façon définitive, de ses droits civils et politiques et qu le Conseil constitutionnel ne saurait l'en priver".