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REVELATION : Un célèbre patron de presse homosexuel membre du Comité d’Organisation du Gay Prade à Dakar (Jamra)


Mardi 9 Avril 2013

A l’instar de nombreux compatriotes, l’Organisation islamique JAMRA a été scandalisée, à la lecture du « scoop » livré par le quotidien « Le Populaire », dans sa livraison de du jeudi 28 mars 2013, confirmant, strictement, ce que JAMRA n’a de cesse de dénoncer : les manœuvres souterraines de puissants lobbies homosexuels étrangers, s’appuyant sur leurs relais locaux, pour faire « avaler » à l’Etat du Sénégal la nécessité de « s’aligner sur les standards démocratiques internationaux, dans la gestion de la problématique des droits de l’homme », en se fondant sur le principe d’universalité des droits humains, consacrés dans la Déclaration universelle.


REVELATION : Un célèbre patron de presse homosexuel membre du Comité d’Organisation du Gay Prade à Dakar (Jamra)

Dés l’année 2001, JAMRA se faisait déjà le devoir de tirer sur la sonnette d’alarme. Muni d’éléments probants, le défunt Président exécutif de JAMRA, le député Abdou Latif Guèye, accompagné du vice-président de notre organisation, avait saisi le ministre de l’Intérieur de l’époque, le général Mamadou Niang, sur un maudit projet de « Gay pride » (parade homosexuel), dont nous lui avions apporté les preuves de sa gestation, et dont un célèbre patron de presse était membre du comité d’organisation. Le ministre de l’Intérieur prit son courage à deux mains pour envoyer séance tenante des faxes à tous les réceptifs hôteliers, les avertissant des risques auxquels ils s’exposaient en hébergeant ce type de manifestation faisant la promotion des unions contre-nature, lesquelles sont réprimées par l’article 319 du Code pénal sénégalais. JAMRA venait ainsi de faire échec au premier projet d’envergure des lobbies homosexuels, en terre sénégalaise.


En février 2009, à l’occasion du Grand Magal de Touba, s’appuyant sur des informations digne de foi, une délégation de JAMRA, conduite par son Président exécutif, était reçue par le défunt Khalife général des Mourides, Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké, aux fins d’attirer l’attention du saint homme sur les intentions prêtées à certaines organisations des droits-de-l’homme d’être porteuses, auprès des autorités étatiques, d’un obscure projet portant légalisant les unions contre-nature.


« Dans votre combat contre la légalisation de l’homosexualité, Touba vous soutiendra zaïr ak baatine  ! » fut la réponse, nette, sans équivoque du Khalife de Touba, en présence de Serigne Cheikhouna Mbacké, fils du Khalife, Serigne Abdou Ahad Bousso et son bras droit et confident Serigne Babacar Diouf. Il exprima vivement son indignation et sa ferme désapprobation de ce funeste projet. Avant de déplorer avec JAMRA l’ingérence d’un pays occidental, dans le jugement alors rendu en flagrant délit par la justice sénégalaise contre neuf homosexuels, pris en flagrant délit, dans la banlieue de Mbao.


La condamnation fut également unanime chez la famille de feu Serigne Abdou Khafour Mbacké. A Guédé, le défunt Marabout octogénaire, Serigne Makhtar Bousso, avait même versé de chaudes larmes, rien qu’à l’évocation de cette sombre perspective. « Sur un sol où repose le saint Serigne Touba, jamais », a-t-il persisté, de concert avec le bras droit et ami de Serigne Bara Mbacké, Babacar Diouf. Le défunt khalife devait conclu en ces termes : « Touba n’acceptera jamais que de telles bassesses trouvent droit de cité sur cette terre sénégalaise où dorment de si nobles représentants de Seydina Mohamed, le Prophète de l’Islam (psl) ».


Le mois suivant, en mars 2009, les autorités religieuses de Tivaouane devaient emboucher la même trompette  : « Le Sénégal ne signera jamais cette convention de la honte ! », ont lancé en chœur le défunt Khalife des Tijanes, Serigne Mansour Sy « Borom daara-ji », et le porte-parole de la famille Sy, Serigne Abdou Aziz Sy « Al Ibn », à la délégation de JAMRA. Le défunt Khalife, en dépit des restrictions formelles d’activités, imposées par son médecin traitant, se faisant relayer ses propos par son fils, Serigne Habib Sy, avait tenu l’assistance en haleine, pendant deux tours d’horloge, pour fustiger cet « épouvantable projet de légalisation des unions contre-nature ». Il devait conclure cette prêche d’une haute portée morale et pédagogique, en révélant à la délégation de JAMRA, qu’il était en train de mettre la dernière main à un manuscrit mettant en exergue le danger moral, psychologique et social que constitue pour une société fortement ancrée dans la foi comme la nôtre, la promotion de cette « pratique bestiale » qu’est l’homosexualité.


Il n’empêche qu’ils sont revenus à la charge en 2011, la veille des élections générales. En effet, après que cet « Appel des 66 » - dont l’une des avocates distinguées était Rama Yade, le ministre français, d’origine sénégalaise, alors en charge des Droits de l’homme -, a été encore pris en charge par les mêmes relais locaux, le vice-président de JAMRA s’était empressé de dénoncer ces manouvres auprès de l’actuel Khalife de Touba (Serigne Sidy Makhtar Mbacké). Cela lui avait valu d’être trainé devant les tribunaux par des organisations des droits de l’homme.


Ainsi dans les villes saintes de Touba comme de Tivaouane, JAMRA s’est régulièrement employée à attirer l’attention des autorités religieuses sur l’activisme débordant des promoteurs du projet de dépénalisation des unions contre-nature, comme l’homosexualité et le lesbianisme. D’obscurs lobbies qui se livrent au niveau mondial à de grandes manœuvres de corruption, n’hésitant pas à décaisser des sommes faramineuses pour parvenir à leur sinistre fin, à savoir : faire légaliser les unions contre-nature dans les 38 pays africains (sur 53), qui « font encore de la résistance », en continuant à sanctionner pénalement les unions contre-nature.


D’autres missions de l’Organisation islamique JAMRA furent également dépêchées auprès des autorités coutumières du pays, pour le même objectif : démontrer comment ces lobbies, après avoir réussi, le 18 décembre 2008, au plan international, à embrigader 66 pays (sur les 192 que comptaient l’Onu), en leur faisant parapher (souvent moyennant des espèces sonnantes et trébuchantes, remises à des relais locaux) un projet de déclaration, destiné à l’organisation onusienne, portant « dépénalisation universelle de l’homosexualité ». Elargissant ainsi la voie au mariage légal d’individus du même sexe, et à son inévitable corolaire, le droit d’adoption d’enfants, qui se verront arbitrairement imposés des « papas-homme » et de « mamans » également « homme », au péril de leur équilibre psychologique. On ne compte plus, en Occident, ces malheureux enfants, traumatisés au terme de leur adoption par ces couples hétéroclites, qui les auront injustement sacrifiés sur l’autel du vice et du libertinage.


Et à toutes les étapes de ses tournées, c’est par de ferventes prières que la démarche de JAMRA a été accueillie, pour que « les diaboliques budgets de guerre » mobilisés par ces lobbies – qui auront corrompu nombre de parlementaires à travers le continent - ne parviennent jamais à brader les vertus cardinales que nous ont léguées les Seydil Haji Malick Sy, Cheikh Ahmadou Bamba, Baye Ibrahima Niasse, Seydina Limamou Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam dont se glorifie notre pays, et qui reposent en paix, en terre sénégalaise.


Grâce à Dieu, JAMRA reste convaincue que ces manœuvres ténébreuses ne réussiront jamais à amoindrir les inébranlables convictions des dignes hommes et femmes de notre cher pays, qui restent fermement attachés aux Textes Sacrés de nos religions monothéistes qui, toutes, unanimement, rejettent les unions contre-nature. Qu’il s’agisse du Saint-Coran (« Les Murailles », sourate 7), où le Seigneur met en garde sur les conséquences de cette pratique « bestiale et avilissante », ou de l’Ancien Testament (18.22) qui se singularise aussi par une condamnation sans équivoque de l’homosexualité, en considérant cette « abomination » comme « l’œuvre d’un peuple pervers ». Il s’y ajoute que les pratiquants de cette déviance sexuelle, se sont révélé, avec le temps, de véritables vecteurs de la propagation du Vih-Sida. Là où la population globale sénégalaise s’enorgueillie d’avoir un des meilleurs taux de prévalence du Vih-sida en Afrique, les statistiques officielles révèlent que ce taux a atteint le seuil alarmant de 22% chez la communauté homosexuelle sénégalaise. Et il ne s’agit pas de statistiques de la Presse ou de JAMRA, mais de statistiques officielles de l’Etat du Sénégal, précisément du CNLS (le comité national de lutte contre le Sida), logé à la Primature. Ce qui confirme donc que ces déviants, en plus de constituer des contre-exemples pour la jeunesse, sont aussi une menace pour la Santé publique.


Toutefois, nous ne nous lasserons jamais de rappeler, à l’intention surtout de ceux qui sont promptes à crier à « l’intolérance » chaque fois que JAMRA dénonce ces déviances, que JAMRA n’a jamais encouragé et n’encouragera jamais la stigmatisation des homosexuels. Mais dénoncera toujours l’exploitation scandaleuse qui est faite de ce drame humain, devenu par la force des choses un détestable fond de commerce ; et continuera de fustiger ces rhétoriciens qui, se souciant avant tout de justifier des rentes auprès d’obscures bailleurs, tiennent des discours démagogiques, confortant tacitement les homosexuels dans leur déviance.


L’intention régulièrement prêtée à l’Etat du Sénégal de vouloir s’aligner sur les cinq pays (5) du continent (Guinée-Bissau, Cap-Vert, Gabon, Centrafrique, Iles-Maurice), qui ont dépénalisé l’homosexualité, gagnerait à être définitivement annihilée de la conscience collective, sous peine de la voir périodiquement polluer le champ publique. Il est vrai qu’il est impensable d’envisager une telle éventualité dans un pays comptant plus de 95% de musulmans, mais on imagine aisément les risques de troubles à l’ordre public, susceptibles d’être provoqués par une telle éventualité, qui mettrait en péril la paix civile.


Aussi, lorsque, le 18 décembre 2008, à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, l’ambassadeur d’Argentine Jorge Arguello, avait lu un « Appel pour la dépénalisation de l’homosexualité » au nom de 66 pays signataires, précédé en cela par une étonnante sortie du directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé, se disant confiant, car : « Les négociations avec le gouvernement sénégalais sont en bonne voie », l’Etat du Sénégal, qui était soupçonné d’en être signataire, s’était empressé, par la voix de son ministre en charge des Droits humains (Coumba Gaye) et de celui en charge des Affaires religieuses (Bamba Ndiaye) de démentir officiellement et formellement une telle information. A la grande satisfaction des 98% de croyants (musulmans comme catholiques) de notre cher pays.


Aujourd’hui que cette question est à nouveau agitée, et bien qu’un démembrement de l’Etat du Sénégal, et non des moindres, ait été clairement cité dans l’article de presse supra, comme ayant « participé à ce conclave, convoqué dans la plus grande discrétion dans un hôtel de la place, en vue de peaufiner une stratégie pour porter le plaidoyer des homosexuels à l’Assemblée nationale », aucun responsable gouvernemental n’a encore formellement démenti l’information ! Sinon à se contenter de qualifier cette affaire « d’intox ».


Aussi, se conformant au vieil adage populaire qui dit, si pertinemment : « Dana maté am dou maté, boul déf sa baaraam » (face au doute, abstiens-toi), JAMRA, par devoir de vigilance, a cru nécessaire d’inviter tous les Imams, les Oulémas et Prédicateurs de toutes les mosquées du Sénégal à consacrer leurs sermons du vendredi 29 mars dernier à dénoncer ce scandaleux projet de plaidoyer-homosexuel qu’on veut faire porter aux vaillants élus du peuple, pour une forfaiture parlementaire historique ! Que ne laisseront certainement jamais prospérer Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, Seydil haji Malick Sy, Baye Niass, Seydina Limamou Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam, dont nous sommes convaincus que les hermétiques oraisons continuent de protéger notre cher Sénégal, contre ces forces obscures qui semblent tenir vaille que vaille à nous imposer la légalisation d’une tare sous-culturelle, qui n’est autre qu’une déviance sexuelle rejetée aussi bien par l’Islam que le Christianisme.


C’est le lieu pour JAMRA d’adresser ses chaleureuses félicitations à tous les responsables de mosquée, et autres lieux de culte, pour s’être associé aux concerts de réprobation, à travers leurs sermons.


Nous confondons dans ces compliments tous les prédicateurs médiatiques qui ont consacré de larges extraits de leurs différentes émissions à dénoncer ce projet. Nous voulons nommer Oustaz Alioune Sall, Seybatou Hamdi Diouf, Taïb Socé.


Nos remerciements fraternels vont aussi à Serigne Baye Mamoune Niass, dont la réplique ne s’est pas fait attendre. Sans oublier le mouvement « Al Hanafiya », dirigé par Cheikh Ibrahima Séné, Ouztas Souleymane Diaw leader de l’Association « Rahmatal Halamina » de la Cité du Rail, les membres du mouvement « Bagne ba dé » des HLM, dirigé par Abdoulaye Diop, qui se disent tous « prêts à donner (leur) vie », pour qu’un tel projet ne voit jamais le jour au Sénégal.


Nous avons également apprécié la sortie du sociologue Aly Khoudia Diaw qui, appréciant à sa juste valeur le concert de réprobation de l’écrasante majorité des sénégalais, a estimé sur les ondes que « La dépénalisation, au Sénégal, est une cause perdue d’avance  ».


Mais la « mention spéciale » JAMRA voudrait l’attribuer à ceux qui sont sensés être intéressés au premier chef, à savoir les députés. Le président du groupe parlementaire de la majorité « Benno bokk yaakaar », Moustapha Diakhaté a été on ne peut plus net, et le communiqué de presse qu’il rendu public à cet égard est sans équivoque : « Le groupe Benno bokk yakaar n’envisage pas de soutenir encore moins de porter une telle proposition de loi. Le Sénégal reste un pays qui pénalise l’homosexualité », avait déclaré le porte-parole du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle. Qui n’a pas manqué d’assurer que « malgré les lobbies, les manipulations et les menaces, les dispositions du code pénal punissant l’homosexualité restent en vigueur et ne feront l’objet d’aucun assouplissement ». On ne peut être plus clair !


Le président du groupe libéral, Modou Diagne Fada, le député non-inscrit Serigne Khadim Thioune ne sont pas en reste. De même que le vice-président de l’Assemblée nationale Moustapha Cissé Lô, qui a martelé dans une célèbre émission dominicale, qu’avant d’être député « (il) est avant tout musulman et talibé de Cheikhoul khadim. Et que quiconque s’aventurerait à porter un tel projet dans l’Hémicycle, marcherait sur (son) cadavre ».


Après avoir exprimé nos félicitations à votre confrère du journal « Le Populaire », Jacques Ngor Sarr, qui a levé le lièvre, nous nous empressons de lui témoigner de notre soutien fraternel, suite aux insanités et autres menaces que des individus anonymes, courageusement tapis dans l’ombre, ont proféré à son encontre. Ce qui prouve que le fait qu’il ait, avec rigueur et professionnalisme, mis à nu ce deal funeste a du ébranler et déstabiliser bien des plans ! Encore que, par pudeur, Jacques Ngor Sarr n’a pas tout dit ! Il est loin d’avoir révélé tous les dessous de ce conclave. Et il sait à quoi nous faisons allusion !


Cette troisième tentative d’aligner le Sénégal sur les cinq pays africains signataires de « l’Appel des 66 » ayant échoué, JAMRA aurait raisonnablement pu vaguer à d’autres occupations. Mais c’était compter sans la vigilance de nombreuses autorités religieuses qui, offusqués de cet énième affront contre la foi des millions de croyants sénégalais, ont souhaité en savoir d’avantage. « Evitons de dormir sur nos lauriers ! », nous ont-ils dit. C’est ce qui explique que JAMRA, après le concert de sermons dans les mosquées, a estimé nécessaire d’aller à la rencontre des autorités religieuses du pays, comme le faisait systématiquement du reste notre défunt président-fondateur, chaque fois que JAMRA livrait une bataille d’envergure.


Cette tournée aura successivement conduit la délégation de JAMRA, dirigée par son Président exécutif, Imam Massamba Diop, du mardi 02 au dimanche 07 avril 2013, auprès des familles religieuses du pays, dont certains, en déplacement hors de leur terroir au moment de la tournée, ont néanmoins tenu a nous manifester, au téléphone, leur soutien total. Il s’agit précisément du Porte-parole du Khalife de Tivaouane Serigne Abdou Aziz Sy "Al Ibn", du Khalife général de Pire Serigne Moustapha Cissé, du Khalife général de Thiénaba Cheikh Ahmet Tijane Seck, de Serigne Alioune Fall neveu du khalife des Niasséne, du fils du khalife de Ndiassane Serigne Sidy Mokhtar Counta, de Abbé Jacques Seck pour le compte de l’Eglise Catholique (que nous félicitons au passage d’avoir saisi l’opportunité des célébrations de mariages dans une Eglise des Parcelles-Assainies, pour dénoncer ce projet).


La délégation a ensuite été reçue par Serigne Naby Guèye, khalife du défunt Gorgui Seyni Guèye "Sang-bi" de la Mosquée de la Divinité, par le Plénipotentiaire du Khalife général des Layéne Serigne Moussa Guèye Laye, par Serigne Madani Tall Khalife de la famille Omarienne, qui s’est plu à rappeler à la délégation de JAMRA son rôle dans le cuisant revers des promoteurs du fameux projet de "Gay-pride", en 2001 (le Khalife avait fait venir le ministre de l’Intérieur général Mamadou Niang pour lui dire crûment que « s’ils viennent organiser ça ici, au Sénégal, j’irai à leur rencontre à l’aéroport pour qu’ils passent d’abord sur mon cadavre ».


La Ville Sainte de Touba fut la dernière étape de la tournée de JAMRA, où le Khalife général des Mourides Serigne Sidy Makhtar Mbacké, en dépit de sa retraite spirituelle, à Mbacké Baari, a tenue à recevoir personnellement le Président exécutif de JAMRA, Imam Massamba Diop, avec qui il a eu un long tête-à-tête, en présence de son neveu Serigne Cheikh Thioro Mbacké.


Quant à Serigne Moustapha Bara Falilou, il a réitéré le même propos, que son défunt père, khalife général des Mourides Serigne Mouhamadou Lamine Bara qui, rappelons-le, avait déclaré, lors de la tournée de JAMRA, en 2009 : « Dans votre combat contre la légalisation des unions contre-nature, nous vous soutiendrons zair ak baatin ».


JAMRA a également contacté dans la foulée d’autres personnalités de la Société civile, comme le Directeur du Magazine "Icône", Mansour Dieng, pour son rôle déterminant dans la mise à nu du scandaleux mariage homosexuel de Mbao, en 2009 ; et Malal Talla du Mouvement "Y en a marre", dont les positions courageuses contre la dégradations des mœurs est connu de tous, etc.


Incontestablement, la réprobation est générale. La société sénégalaise dans son écrasante majorité, rejette tout projet de légalisation des unions contre-natures. Mais seulement, il est ressorti de nos différents entretiens avec les autorités religieuses l’idée de fédérer d’avantage les forces vives de la société sénégalaise, qui tiennent à faire preuve de vigilance et à faire respecter la volonté de la majorité des croyants de ce pays. C’est ainsi que JAMRA a été amené à retenir cette proposition pertinente d’un chef religieux, consistant à mettre sur pied un observatoire de veille, pour que désormais, chaque fois que notre culture ou notre religions sont agressées, que ce ne soit plus seulement JAMRA qui aille au front. Mais un collectif regroupant des dizaines de mouvements sociaux, alliant aussi bien des religieux que des personnalités de la société civiles, en passant par des organisation socio-éducatives, des acteurs culturels, etc., Bref une force sociale significative et dissuasive, représentative de tous les segments sociaux qui rejettent toutes formes d’aliénation culturelle, de perversion de la jeunesse, et de dégradation des mœurs d’une maniée générale. Afin de barrer définitivement la route à ce projet rampant, et récurrent, de dépénalisation des unions contre-natures, rejetées aussi bien par l’Islam que le Christianisme.


Il me plait de vous annoncer qu’un nom a déjà été retenu. Cette structure qui sera bientôt portée sur les fonts baptismaux, et à laquelle toutes les bonnes volontés – y compris vous acteurs des médias – sont les bienvenues s’appellera « Observatoire National de Veille et de Défense des Valeurs Culturelles et Religieuses ».


Le Président exécutif de Jamra


Imam Massamba Diop




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