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La France est dans la tourmente depuis quelques jours. En effet, suite aux propos d’Emmanuel Macron sur l’islam et les caricatures contre le Prophète Mouhamed (Psl), il y a eu une vive réaction dans certains pays musulmans. C’est ainsi qu’un appel au boycott des produits français a été lancé dans plusieurs pays du Moyen-Orient.
Au vue des conséquences qui risquent d’être lourdes pour l’économie française, surtout dans ce contexte de Covid-19, Paris a décidé d’éteindre le feu au plus vite.
« Les ministres ainsi que l’ensemble de notre réseau diplomatique sont entièrement mobilisés pour rappeler et expliquer à nos partenaires les positions de la France, notamment en matière de libertés fondamentales et de refus de la haine, appeler les autorités des pays concernés à se désolidariser de tout appel au boycott ou de toute attaque contre notre pays, accompagner nos entreprises et assurer la sécurité de nos compatriotes à l’étranger », invite une note sur France Diplomatie.
Paris considère que les appels au boycott ainsi que les propos ‘’haineux’’ contre la France doivent cesser, puisque ‘’sans objet’’.
Si l’on en croit la note, ces initiatives « dénaturent les positions défendues par la France en faveur de la liberté de conscience, de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du refus de tout appel à la haine ».
Paris soutient que la déclaration de Macron, tenue le 2 octobre dernier, a pour objectif de lutter ‘’contre l’islamisme radical’’ tout en le faisant avec les musulmans de France ‘’partie intégrante de la société, de l’histoire et de la République françaises’’, selon les termes de la note.
A noter que depuis que cet appel au boycott a été lancé, plusieurs produits alimentaires français, parfois très prisés, ont été retirés des grandes surfaces. Il s’y ajoute l’appel du président turc Recep Tayyip Erdogan invitant Macron à subir un ‘’examen mental’’. Des mots qui ont amené la France à rappeler son ambassadeur en Turquie.
Au vue des conséquences qui risquent d’être lourdes pour l’économie française, surtout dans ce contexte de Covid-19, Paris a décidé d’éteindre le feu au plus vite.
« Les ministres ainsi que l’ensemble de notre réseau diplomatique sont entièrement mobilisés pour rappeler et expliquer à nos partenaires les positions de la France, notamment en matière de libertés fondamentales et de refus de la haine, appeler les autorités des pays concernés à se désolidariser de tout appel au boycott ou de toute attaque contre notre pays, accompagner nos entreprises et assurer la sécurité de nos compatriotes à l’étranger », invite une note sur France Diplomatie.
Paris considère que les appels au boycott ainsi que les propos ‘’haineux’’ contre la France doivent cesser, puisque ‘’sans objet’’.
Si l’on en croit la note, ces initiatives « dénaturent les positions défendues par la France en faveur de la liberté de conscience, de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du refus de tout appel à la haine ».
Paris soutient que la déclaration de Macron, tenue le 2 octobre dernier, a pour objectif de lutter ‘’contre l’islamisme radical’’ tout en le faisant avec les musulmans de France ‘’partie intégrante de la société, de l’histoire et de la République françaises’’, selon les termes de la note.
A noter que depuis que cet appel au boycott a été lancé, plusieurs produits alimentaires français, parfois très prisés, ont été retirés des grandes surfaces. Il s’y ajoute l’appel du président turc Recep Tayyip Erdogan invitant Macron à subir un ‘’examen mental’’. Des mots qui ont amené la France à rappeler son ambassadeur en Turquie.