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Co-accusée de Ousmane Sonko dans le procès Sweet Beauté, Ndèye Khady Ndiaye, la propriétaire de cet institut de beauté, a été condamné à deux ans ferme pour incitation à la débauche. Elle devra, comme le président de Pastef, s’acquitter d’une amende de 600 000 francs CFA et, solidairement avec ce dernier, payer à Adji Sarr 20 millions de francs CFA au titre des dommages et intérêts.
Ses avocats, après l'avoir boudée, avaient demandé en vain la reprise de l’audience, défendant que leur cliente a été jugée en leur absence. D’après Wal fadjri, ils pourraient attaquer la décision de la chambre criminelle. «Nous devons nous réunir pour voir la conduite à tenir», annonce dans les colonnes du journal Me Ibrahima Mbengue, l’un des défenseurs de Ndèye Khady Ndiaye.
Ce dernier poursuit : «On n’écarte pas d’interjeter appel pour annuler toute la procédure. L’accusée doit être assistée. C’est la première fois qu’on voit un accusé devant la chambre criminelle sans avocat. Elle ne peut pas se défendre. Elle n’est pas juriste. Désigner d’office un autre avocat lors du procès était synonyme de renvoi.»
Ses avocats, après l'avoir boudée, avaient demandé en vain la reprise de l’audience, défendant que leur cliente a été jugée en leur absence. D’après Wal fadjri, ils pourraient attaquer la décision de la chambre criminelle. «Nous devons nous réunir pour voir la conduite à tenir», annonce dans les colonnes du journal Me Ibrahima Mbengue, l’un des défenseurs de Ndèye Khady Ndiaye.
Ce dernier poursuit : «On n’écarte pas d’interjeter appel pour annuler toute la procédure. L’accusée doit être assistée. C’est la première fois qu’on voit un accusé devant la chambre criminelle sans avocat. Elle ne peut pas se défendre. Elle n’est pas juriste. Désigner d’office un autre avocat lors du procès était synonyme de renvoi.»