Autres articles
-
Bande des filaos : la Cour suprême se penche sur le décret de Macky Sall
-
GAMBIE : Le Président Diomaye explique pourquoi il a réservé sa première sortie à la Mauritanie
-
Sortie du franc CFA : ce que Felwine Sarr conseille à Diomaye Faye
-
Motion de censure : la réponse sèche d’Abdou Mbow à Moustapha Sarré
-
«94 milliards» et Prodac : la grosse annonce de l’homme qui murmure à l’oreille de Sonko
Interrogé sur les forces de l'ordre autour du domicile du leader de Pastef, Ousmane Sonko, le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome, a estimé qu’on ne peut pas parler en l’occurrence de blocus. « C’est une question d’ordre public et de sécurité nationale. On reviendra avec des détails pour expliquer plus. Il ne s’agit pas de bloquer la maison de qui que ce soit, mais juste de rétablir et maintenir l’ordre public », explique le Ministre.
Dans une déclaration, hier, Ousmane Sonko s’est dit "séquestré" par les forces de sécurité. "Au nom de quoi, dans un pays qui se dit démocratique, on peut séquestrer un citoyen qui n'a de tort que d'être un opposant ferme et farouche au régime du président Macky Sall, sans aucun soubassement judiciaire", a-t-il demandé.
Dans une déclaration, hier, Ousmane Sonko s’est dit "séquestré" par les forces de sécurité. "Au nom de quoi, dans un pays qui se dit démocratique, on peut séquestrer un citoyen qui n'a de tort que d'être un opposant ferme et farouche au régime du président Macky Sall, sans aucun soubassement judiciaire", a-t-il demandé.