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Avec les régions de Tambacounda et Kédougou, Kolda compte parmi les zones les moins avancées du Sénégal, au même titre que certains terroirs du nord, pour ne pas citer l’ensemble des contrées périphériques.
Il y a ensuite que l’agriculture est appelée à pourvoir davantage en innovations et opportunités d’emploi, dans le sillage de l’agro-business, incontournable dans la marche vers l’industrialisation, prochaine étape de l’action des pouvoirs publics dans ce domaine.
Son ancrage local - militant de l’APR, Moussa Baldé est un des responsables en vue du parti au pouvoir dans la région de Kolda -, peut l’aider à mieux saisir ces enjeux, en tout cas plus que ce qui est peut être attendu d’un autre ministre, si l’on sait que son Fouladou natal est l’une des zones agricoles les plus importantes du Sénégal, dans cette Casamance naturelle autrefois considérée comme ’’le grenier du Sénégal’’.
Dans ces dernières, l’Etat semble toujours moins absent qu’ailleurs, les conditions de vie plus dures que d’ordinaire, au regard des difficultés rencontrées par les populations pour vivre de leurs activités, se sortir de la pauvreté, obtenir des opportunités devant leur permettre de s’autonomiser. Cela tombe bien, puisque l’universitaire pur jus, titulaire d’une thèse de doctorat de l’Université de Rouen en France (spécialité mathématiques appliquées en 1999), n’a pas attendu un poste ministériel pour s’enquérir de ces enjeux, en tant que directeur général de la SODAGRI.
A l’Université de Dakar, avec l’appui du département mathématiques de la Faculté des sciences et techniques, Moussa Baldé avait l’habitude d’inviter régulièrement à Dakar, des professeurs d’université pour des cours ou des séminaires aux étudiants du Laboratoire Géométrie et applications.
Dans ce cadre, il a encadré de nombreux étudiants pour des mémoires de DEA et de master, un background, un sens de l’initiative et une ouverture dont il aura forcément besoin dans ses nouvelles fonctions, surtout que le secteur de l’agriculture peut attendre de lui innovation et de nouvelles applications pour donner la pleine mesure de ses potentialités.
Il y a ensuite que l’agriculture est appelée à pourvoir davantage en innovations et opportunités d’emploi, dans le sillage de l’agro-business, incontournable dans la marche vers l’industrialisation, prochaine étape de l’action des pouvoirs publics dans ce domaine.
Son ancrage local - militant de l’APR, Moussa Baldé est un des responsables en vue du parti au pouvoir dans la région de Kolda -, peut l’aider à mieux saisir ces enjeux, en tout cas plus que ce qui est peut être attendu d’un autre ministre, si l’on sait que son Fouladou natal est l’une des zones agricoles les plus importantes du Sénégal, dans cette Casamance naturelle autrefois considérée comme ’’le grenier du Sénégal’’.
Dans ces dernières, l’Etat semble toujours moins absent qu’ailleurs, les conditions de vie plus dures que d’ordinaire, au regard des difficultés rencontrées par les populations pour vivre de leurs activités, se sortir de la pauvreté, obtenir des opportunités devant leur permettre de s’autonomiser. Cela tombe bien, puisque l’universitaire pur jus, titulaire d’une thèse de doctorat de l’Université de Rouen en France (spécialité mathématiques appliquées en 1999), n’a pas attendu un poste ministériel pour s’enquérir de ces enjeux, en tant que directeur général de la SODAGRI.
A l’Université de Dakar, avec l’appui du département mathématiques de la Faculté des sciences et techniques, Moussa Baldé avait l’habitude d’inviter régulièrement à Dakar, des professeurs d’université pour des cours ou des séminaires aux étudiants du Laboratoire Géométrie et applications.
Dans ce cadre, il a encadré de nombreux étudiants pour des mémoires de DEA et de master, un background, un sens de l’initiative et une ouverture dont il aura forcément besoin dans ses nouvelles fonctions, surtout que le secteur de l’agriculture peut attendre de lui innovation et de nouvelles applications pour donner la pleine mesure de ses potentialités.