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SENXIBAR-Cette plainte vise aussi le quotidien français Le Parisien, annonce un communiqué de la Présidence de la République qui affirme qu’en raison du caractère diffamatoire de cette assertion, le Président de la République du Sénégal, Maître Abdoulaye Wade, a demandé à ses avocats, le Bâtonnier Jean-René Farthouat et Maître Rasseck Bourgi, du Bareau de Paris qui se sont déplacés à cet effet, ainsi que Maître François Sarr du Barreau Dakar, de porter plainte.
Le texte rendu public par le Ministre, Porte Parole du Président de la République, Serigne Mbacké Ndiaye rappelle que la Presse Sénégalaise ‘’s’est faite l’écho d’un article et d’une interview donnée par l’Avocat parisien, Me William Boudon, publiés dans l’édition du vendredi 2 mars 2012 du quotidien français ‘’Le Parisien’’ et sur son site internet, aux termes desquels la procédure française dite +des biens mal acquis+ pourrait être ‘’élargie au Président Sénégalais’’.
Il y a lieu de rappeler que des accusations similaires avaient été portées à l’encontre du Président de la République en novembre 2009 et que la procédure introduite devant le Tribunal de Grande Instance de Paris n’a connu aucune suite. En effet, le plaignant s’était rétracté et avait adressé une lettre d’excuse au Chef de l’Etat.
Le Président de la République du Sénégal avait en outre déclaré, dans un communiqué du 5 décembre 2009 qu’il n’est propriétaire en France et à l’étranger que d’un studio de quarante et un mètres carrés situé au 41, avenue des Ternes à Paris, acquis il y a plus de 28 ans alors qu’il était dans l’opposition.
D’ailleurs pour couper court à toutes ces insinuations, il avait déjà donné mandat le 12 décembre 2009 à tous les Maires de Communes de France s’ils venaient à découvrir des propriétés lui appartenant en France de les vendre et d’en verser le produit aux bonnes œuvres de leurs communes respectives.
Pour le Porte Parole du Président de la République, ‘’‘en soutenant et publiant l’allégation susvisée, à l’approche du second tour de l’élection présidentielle, les auteurs de l’article précité du Parisien et Me William Boudon, ont obéi à des préoccupations électoralistes, voulant ainsi s’immiscer dans le déroulement de la campagne électorale’’.
De son côté, le Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération Internationale, des Transports Aériens, des Infrastructures et de l’Energie, Karim Wade, cité incidemment dans le même article a déposé le même jour auprès du Doyen des Juges d’Instruction du Tribunal Hors Classe de Dakar une plainte similaire contre l’avocat William Boudon et le quotidien français ‘’Le Parisien’’.
Le texte rendu public par le Ministre, Porte Parole du Président de la République, Serigne Mbacké Ndiaye rappelle que la Presse Sénégalaise ‘’s’est faite l’écho d’un article et d’une interview donnée par l’Avocat parisien, Me William Boudon, publiés dans l’édition du vendredi 2 mars 2012 du quotidien français ‘’Le Parisien’’ et sur son site internet, aux termes desquels la procédure française dite +des biens mal acquis+ pourrait être ‘’élargie au Président Sénégalais’’.
Il y a lieu de rappeler que des accusations similaires avaient été portées à l’encontre du Président de la République en novembre 2009 et que la procédure introduite devant le Tribunal de Grande Instance de Paris n’a connu aucune suite. En effet, le plaignant s’était rétracté et avait adressé une lettre d’excuse au Chef de l’Etat.
Le Président de la République du Sénégal avait en outre déclaré, dans un communiqué du 5 décembre 2009 qu’il n’est propriétaire en France et à l’étranger que d’un studio de quarante et un mètres carrés situé au 41, avenue des Ternes à Paris, acquis il y a plus de 28 ans alors qu’il était dans l’opposition.
D’ailleurs pour couper court à toutes ces insinuations, il avait déjà donné mandat le 12 décembre 2009 à tous les Maires de Communes de France s’ils venaient à découvrir des propriétés lui appartenant en France de les vendre et d’en verser le produit aux bonnes œuvres de leurs communes respectives.
Pour le Porte Parole du Président de la République, ‘’‘en soutenant et publiant l’allégation susvisée, à l’approche du second tour de l’élection présidentielle, les auteurs de l’article précité du Parisien et Me William Boudon, ont obéi à des préoccupations électoralistes, voulant ainsi s’immiscer dans le déroulement de la campagne électorale’’.
De son côté, le Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération Internationale, des Transports Aériens, des Infrastructures et de l’Energie, Karim Wade, cité incidemment dans le même article a déposé le même jour auprès du Doyen des Juges d’Instruction du Tribunal Hors Classe de Dakar une plainte similaire contre l’avocat William Boudon et le quotidien français ‘’Le Parisien’’.
