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Pour lui, il n’y a pas de crainte sur la commercialisation du riz local. «Ce riz sera intégralement acheté par les commerçants. Au moment où je vous parle, il n’y a pas de mévente du riz de la vallée », a rassuré le ministre de l’Agriculture, relayé par Le Soleil. Selon lui, quand une agriculture se développe, on produit plus, les consommateurs deviennent exigeants. Il faut, à son avis, trouver des équilibres, faire des ajustements. Par ailleurs, M. Seck affirme que des études ont permis de constater que dans l’espace Cedeao, la production rizicole augmente mais les importations augmentent également. Ce qui est un paradoxe.
A l’exception du Sénégal et du Nigéria, soutient-il, les importations rizicoles ont augmenté dans tous les pays de la Cedeao. «En ce qui concerne le Sénégal, on impute cette baisse des importations à l’augmentation de la production. Pour le Nigéria, c’est dû aux modules tarifaires (…). Pour le Sénégal, entre 2013 et 2016, la production a augmenté de 35 % et en retour, on a eu une baisse des importations d’environ 6 % par an. C’est dire que nous sommes dans une bonne dynamique», a-t-il dit.
A l’exception du Sénégal et du Nigéria, soutient-il, les importations rizicoles ont augmenté dans tous les pays de la Cedeao. «En ce qui concerne le Sénégal, on impute cette baisse des importations à l’augmentation de la production. Pour le Nigéria, c’est dû aux modules tarifaires (…). Pour le Sénégal, entre 2013 et 2016, la production a augmenté de 35 % et en retour, on a eu une baisse des importations d’environ 6 % par an. C’est dire que nous sommes dans une bonne dynamique», a-t-il dit.