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Sen Revue de presse

PRESSE-REVUE: Les sujets de gouvernance font le menu des quotidiens


Mardi 12 Novembre 2013

PRESSE-REVUE: Les sujets de gouvernance font le menu des quotidiens

Les quotidiens parvenus mardi à l’APS s’abreuvent principalement aux sources de problématiques de la gouvernance pour faire leur menu, à la faveur de la remise la veille du dernier rapport de la Cour des comptes.D’autres journaux reviennent dans le même temps sur un sujet relativement connexe, qui concerne la régulation des médias, pendant que les quotidiens sportifs sont déjà tournés vers le match Sénégal-Côte d’Ivoire, comptant pour les éliminatoires du prochain Mondial. 

‘’La Cour des comptes dénonce la mauvaise gestion et la non transparence et le manque de suivi de ses recommandations’’, souligne à sa Une le quotidien national Le Soleil, au sujet du nouveau rapport de cet organe de contrôle indépendant consacré aux structures publiques. ‘’Hier (lundi), au cours de la présentation de ses rapports 2010-2011, ses membres ont souligné que les pouvoirs politiques et publics sont peu enclins à mettre en œuvre leurs recommandations. Les magistrats fondent leur argument sur la récurrence des faits épinglés depuis une dizaine d’années’’, écrit Le Soleil. 

L’As décrit la même situation en indexant des ‘’pilleurs à col blanc’’, dont la SAPCO, la Société d'aménagement de la zone touristique de la Petite-Côte sénégalaise, désignée par le journal comme ‘’la vache laitière de Ndiouga Sakho’’, son précédent directeur. De même, entre autres fautes de gestion signalées par la Cour des comptes, ‘’c’était la bombance’’ dans les communes de Kaolack, Saint-Louis et Richard-Toll, indique le quotidien L’As. ‘’Toujours les mêmes fautes et les mêmes recommandations’’, renseigne le journal. 

‘’Les responsables de la Cour des comptes qui ont décelé plusieurs irrégularités ont regretté +une récurrence des anomalies depuis une dizaine d’années, ce qui veut dire que les autorités ne prennent pas en compte les recommandations faites par la Cour+’’, écrit-il. ‘’Des irrégularités et des nébuleuses qui perdurent depuis 10 ans’’, renchérit Le Populaire, évoquant, par exemple, des manquements notés concernant l’exécution des lois de finances de 2003 à 2005 et de 2006 à 2008. ‘’La Cour des comptes a encore mis en exergue les tares congénitales qui minent les entreprises publiques. 

Elles ont pour nom : manque de transparence et mauvaise gestion. En charge au président Macky Sall de redorer le blason du Sénégal terni aussi par un rapport +Doing Business+’’, commente Direct Info, non sans revenir dans le détail sur certains cas. ‘’La Cour veut des comptes judiciaires’’, note Le Quotidien en suggérant que l’organe de contrôle préconise des sanctions contre les personnes épinglés pour fautes de gestion. C’est que ‘’si le Sénégal veut s’inscrire dans une perspective de bonne gouvernance, il faudrait nécessairement que les autorités contractantes respectent les dispositions et les procédures édictées par les lois et règlements du pays’’. 

‘’Les mauvais résultats de la gouvernance vertueuse’’, raille Walfadjri, dans une allusion aux résultats de l’audit de la gestion de certains responsables du pouvoir actuel qui a fait de la bonne gouvernance un credo. ‘’Mor Ngom (actuel ministre de l’Environnement et du Développement durable) rattrapé par sa gestion à l’aéroport’’, affiche cette publication. Le ministre de la Communication et de l'Economie numérique, Cheikh Bamba Dièye, également, ‘’piétine le Code des marchés’’ publics, ajoute le journal. Dans la mélasse, deux colonels de la gendarmerie sont (aussi), cités’’, selon Walfadjri. Le rapport annuel du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) fait également l’actualité. 

Le Soleil renseigne ainsi que le nouveau document de l’organe de régulation ‘’note une situation satisfaisante dans l’audiovisuel’’. Mais des ‘’manquements’’ subsistent également, selon le quotidien national, qui en dresse une liste assez exhaustive : ‘’ publicité déguisée, vision dégradante de la femme dans la publicité, violence verbale des politiques, etc.’’. L’As donne la parole à Baba Touré, président du CNRA, qui résume comme suit la situation : ‘’Les écrans de télé s’apparentent de plus en plus à des salles de jeux, de casinos…’’. 

Les quotidiens sportifs dont Stades annoncent que les Lions sont arrivés ‘’au grand complet’’ à Casablanca où ils doivent jouer samedi contre la Côte d’Ivoire, pour le compte du dernier acte des éliminatoires du Mondial 2014. ‘’Papiss Cissé, Lamine Sané et Diamé qui ont jusqu’ici constitué la charnière des Lions, vivent des moments difficiles en club et posent des cas difficiles dont il faut redouter les répercussions dans le match de samedi contre les Ivoiriens’’, analyse Waa Sports.

 BK




1.Posté par De retour le 13/11/2013 02:36
«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES

Oumar KANDE  |   Publication 23/08/2013
http://seneplus.com/article/«mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».
«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.
Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.
Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes. Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye.  »

LE RAP...

2.Posté par De retour le 13/11/2013 02:37
LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
http://www.ndarinfo.com/UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane_a6091.html

« LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR »
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL

http://seneplus.com/article/la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
Publication 16/09/2013

Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?
Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.
De pl...

3.Posté par De retour le 13/11/2013 02:38

De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.
La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là. Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur. Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.

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