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"Moi, je jugerai Wade sur ses actes. S’il accepte comme nous le disons de renoncer à sa candidature que nous jugeons anticonstitutionnelle. S’il s’engage solennellement à organiser des élections transparentes et régulières, avec toutes les conséquences qui en découlent sur le saucissonnage des collectivités locales et sur la démission de certains de ses ministres, qui symbolisent ce que le peuple sénégalais rejette aujourd’hui. S’il pose des actes dans cette direction, à ce moment là, je crois que nous pourrons discuter… »
Au Sénégal, Abdoulaye Wade annonce qu’il va « tirer les leçons » des violences de la fin du mois de juin, mais sans plus de précision. Depuis le 23 juin, depuis qu’il a retiré son projet de réforme politique sous la pression de la rue, le président se tait. Du coup, l’opposition se méfie.
Ousmane Tanor Dieng est le secrétaire général du Parti socialiste, le principal parti d’opposition. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
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