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Pour M. Tine, « Cette déclaration est surprenante. Parce que cela renseigne que c’est le Président de la République qui décide dans les dossiers judiciaires. On pensait que c’était que c’est la justice qui décidé, mais tel n’est pas le cas » dit-il.
Avant de poursuivre : » sur les autres points de droits soulevés par la Cour de Justice de la Cedeao, la question qu’on doit se poser est la suivante: » est-ce que dans un pays de droit on peut condamner une personne après un procès jugé inéquitable et qu’il reste en prison? ».
Moussa Tine appelle au respect de la décision de la Cour de Justice de la Cedea. Parce que dit-il, « le Sénégal est parti chasser Yaya Jammeh en Gambie avec l’accord de la Cedeao, aujourd’hui que la même Cedeao rende une décision et que le Sénégal refuse de l’appliquer c’est grave ».
Pour rappel, dit-il, la décision de la Cour de Justice de la Cedeao a dit clairement que Khalifa Sall n’a pas bénéficié de la présomption d’inoncence, de procès équitable et n’a pas eu droit à l’assistance d’un avocat… »