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Le drame s’était produit le dimanche 17 mars 2019 dans la commune de Ngohé (département de Diourbel). D’après les témoignages, la lycéenne, excédée par les avances de l’enseignant, l’a poignardé à la jambe. C’était dans le bar de la mère d’Henriette Juliette Sambou, Mélanie Diatta. La meurtrière présumée sera inculpée pour coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner.
Sa mère a été également inculpée, mais pour exploitation irrégulière de débit de boissons alcoolisées. Jean-Marie Ngom et Philippe Bernard Diop, qui ont assisté au drame, sont poursuivis pour non-assistance à personne en danger. À l’audience du 21 mai dernier, le procureur de la République avait requis deux années d’emprisonnement ferme contre Henriette Juliette Sambou, et ce, malgré le fait que la famille du défunt avait accordé son pardon à l’accusée. Aussi, le maître des poursuites avait requis six mois ferme pour Mélanie Diatta et des peines avec sursis pour Jean-Marie Ngom et Philippe Bernard Diop.
Un réquisitoire jugé d’une extrême sévérité par les avocats de la défense. Ces derniers avaient plaidé la relaxe pure et simple de leurs clients.
Sa mère a été également inculpée, mais pour exploitation irrégulière de débit de boissons alcoolisées. Jean-Marie Ngom et Philippe Bernard Diop, qui ont assisté au drame, sont poursuivis pour non-assistance à personne en danger. À l’audience du 21 mai dernier, le procureur de la République avait requis deux années d’emprisonnement ferme contre Henriette Juliette Sambou, et ce, malgré le fait que la famille du défunt avait accordé son pardon à l’accusée. Aussi, le maître des poursuites avait requis six mois ferme pour Mélanie Diatta et des peines avec sursis pour Jean-Marie Ngom et Philippe Bernard Diop.
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