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Dans sa livraison du jour, le quotidien Enquête nous renseigne que si le Conseil supérieur de la magistrature qui s'est réuni vendredi dernier n'a pas décortiqué les décisions prises par elle, sous la supervision du président de la République qui en préside les réunions, les magistrats concernés par la décision n'y vont pas, alors pas du tout, du revers de la cuillère. D'après le quotidien, les griefs formulés ont pour épicentre le tribunal régional de Dakar, le Parquet, la Cour d'Appel et autres. Il y en a aussi qui ne manquent pas de relever qu'ils sont tout simplement "victimes" d'autres magistrats plus gradés ou mieux positionnés dans l'appareil judiciaire, qui ne voudraient "pas s'accommoder de la présence de magistrats rompus à la tâche. Aussi, soupçonne-t-on que certaines affectations obéissent à une logique simple de positionnements. Mais si certaines personnes touchées par les nouvelles affectations ne sont pas du tout contentes, d'autres ne manquent pas de relever une "sorte" de jurisprudence de la contestation qui fait qu"'on ne peut en aucune façon éviter qu'il y ait du mécontentement" et des grincements de dents, lorsqu'il s'agit de procéder à des affectations. Et que c'est "chose" tout à fait "normale". Dans tous les cas, on reproche beaucoup au nouveau pouvoir de ne pas assez s'informer sur les uns et les autres, avant de prendre des décisions.