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« Wade lâche la patate chaude », écrit « EnQuête » qui informe que « après 30 heures de garde à vue à la Division des investigations criminelles (Dic), Thiat libéré hier vers 23 heures ». Selon « EnQuête », « sentant le roussi dans l’affaire Thiat, Wade aurait demandé à ses bras policiers et judiciaire de laisser tomber la patate qui devenait de plus en plus chaude entre leurs mains ».
« L’Observateur » note que « Thiat » (a été) libéré sur convocation hier vers 23 heures… ».
Selon « L’Observateur », « après 29 heures de garde à vue entre les mains des limiers de la Brigade des affaires générales (Bag), le rappeur Omar Cyrille Touré a finalement été libéré hier soir « sur convocation ». En clair, le dossier suit son cours et il est tenu de répondre à toute réquisition de la justice ».
« L’As » informe que « un pool d’avocats (est) constitué pour défendre le rappeur Thiat ».
« Le Populaire » qui note que c’est la « fin du kidnapping de Thiat » ajoute que « y’en a marre » dénonce l’instrumentalisation de la justice ».
Pourtant, « Le Quotidien » indique que « Ousmane Ngom (a) frôlé l’humiliation » car le « procureur (pouvait être un) potentiel obstacle à un déferrement ».
« Walfadjri » se demande à quel Wade se fier car « il souffle le chaud et le froid ».
« Chassez le naturel, il revient au galop… Il y a dans la démarche de Me Wade comme un mécanisme rouillé, obligé de crachoter tout le temps. Car, dès que le chef de l’Etat s’engage dans une direction objective, très vite et aussi vite qu’il l’avait entamée, il repasse toujours à la case de départ. En tout cas, cette manière de faire est constante depuis qu’il est au pouvoir. Souffler le chaud et le froid à la fois. Ainsi, ceci explique la dernière actualité en date, la convocation et la garde à vue de Cyril Touré dit Thiat du groupe « Y en a marre ». A peine venait-il de donner l’image d’un sage africain, débonnaire et conciliant le samedi 23 juillet dernier, le voilà donc qui, comme un éclair, qui ré-enfourche son cheval de bataille. Une attitude qui n’est pas sans déteindre sur ses louables concessions faites à l’opposition : le retrait de la gestion des élections à Ousmane Ngom en faisant de Cheikh Guèye son nouveau « Monsieur élection », entre autres », note « Walfadjri ».
« Walf Grand-Place » évoque le voyage du chef de l’Etat ce samedi à Touba pour dire que « Wade (est) en zone hostile (même si) Kara mène le lobbying auprès du khalife ».
« Le Soleil » donne la parole au tout nouveau ministre des élections, Cheikh Guèye, qui déclare qu’ « il appliquera la loi électorale dans toute sa rigueur ».
« D’entrée, le ministre des Elections a souligné que « personne ne peut faire l’unanimité. J’essaierai d’être quitte avec ma conscience et de travailler conformément à la loi électorale ». Et d’ajouter à propos des réactions des politiques : « ça ne me dérange pas, c’est la démocratie. Je travaillerai conformément à la loi électorale et je donnerai toutes les informations utiles et nécessaires à la classe politique ». Le nouveau ministre a également promis d’être équidistant des partis politiques avant de rappeler son passage au ministère de l’Intérieur », écrit « Le Soleil ».
« Sud Quotidien » fait un dossier sur les impôts et taxes au Sénégal pour dire que c’est « un serpent à six têtes ».
« Si la fiscalité constitue la recette pécuniaire de l’Etat par excellence, la multiplicité et la complexité des taxes imposées notamment sur les transactions relèvent souvent d’une hydre à sept têtes. Au Sénégal, les droits d’enregistrement et de timbre sont parmi les goulots qui nuisent au climat des affaires si cher aux autorités », note « Sud Quotidien ».
Selon « L’Observateur », « après 29 heures de garde à vue entre les mains des limiers de la Brigade des affaires générales (Bag), le rappeur Omar Cyrille Touré a finalement été libéré hier soir « sur convocation ». En clair, le dossier suit son cours et il est tenu de répondre à toute réquisition de la justice ».
« L’As » informe que « un pool d’avocats (est) constitué pour défendre le rappeur Thiat ».
« Le Populaire » qui note que c’est la « fin du kidnapping de Thiat » ajoute que « y’en a marre » dénonce l’instrumentalisation de la justice ».
Pourtant, « Le Quotidien » indique que « Ousmane Ngom (a) frôlé l’humiliation » car le « procureur (pouvait être un) potentiel obstacle à un déferrement ».
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« Chassez le naturel, il revient au galop… Il y a dans la démarche de Me Wade comme un mécanisme rouillé, obligé de crachoter tout le temps. Car, dès que le chef de l’Etat s’engage dans une direction objective, très vite et aussi vite qu’il l’avait entamée, il repasse toujours à la case de départ. En tout cas, cette manière de faire est constante depuis qu’il est au pouvoir. Souffler le chaud et le froid à la fois. Ainsi, ceci explique la dernière actualité en date, la convocation et la garde à vue de Cyril Touré dit Thiat du groupe « Y en a marre ». A peine venait-il de donner l’image d’un sage africain, débonnaire et conciliant le samedi 23 juillet dernier, le voilà donc qui, comme un éclair, qui ré-enfourche son cheval de bataille. Une attitude qui n’est pas sans déteindre sur ses louables concessions faites à l’opposition : le retrait de la gestion des élections à Ousmane Ngom en faisant de Cheikh Guèye son nouveau « Monsieur élection », entre autres », note « Walfadjri ».
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« Sud Quotidien » fait un dossier sur les impôts et taxes au Sénégal pour dire que c’est « un serpent à six têtes ».
« Si la fiscalité constitue la recette pécuniaire de l’Etat par excellence, la multiplicité et la complexité des taxes imposées notamment sur les transactions relèvent souvent d’une hydre à sept têtes. Au Sénégal, les droits d’enregistrement et de timbre sont parmi les goulots qui nuisent au climat des affaires si cher aux autorités », note « Sud Quotidien ».
