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Barthélémy Dias en campant sur sa position, décidé à ne pas suivre le représentant du ministère public, a réussi à susciter l’ire du Procureur. Le qu’il ait haussé le ton n’a pas non plus plu à Me El Hadji Diouf. « Vous n’avez pas à hausser le ton sur mon client. Il est libre de répondre comme il veut », intervient l’avocat. « Vous n’avez pas la police de l’audience », rétorque Aly Ciré Ndiaye. Des cris débordent de partout entre le représentant du Parquet et Me Diouf. Le Président parvient tant bien que mal à calmer les ardeurs.
Le Procès reprendre une minute avant que le Procureur s’énerve à nouveau avec Barthélémy Dias cette fois. Le maire de Mermoz Sacré Cœur choisit toujours sa façon de répondre aux questions du Procureur « Je suis désolé monsieur le Procureur, je sais que vous êtes dans votre rôle mais je ne peux pas répondre par « oui » ou « non ». Je suis un prévenu je ne suis pas un écolier. Je dois éclairer le Tribunal ». « Vous devez répondre à ma question par « oui » ou « non ». Vous avez le droit de ne pas répondre », dit le Procureur.
Me El Hadji Diouf intervient à nouveau : « vous posez les mauvaises questions. Vous voulez faire peur à mon client parce que vous savez que votre dossier est vide ». « C’est vous qui posez les mauvaises questions. Le Parquet n’a peur de rien », lui renvoie le parquetier. Le Président Ndary Diop intervient pour rappeler à la raison les parties. Rien y fait ; les nerfs s’échauffent. Pendant 30 minutes les parties se sont chamaillées avant de reprendre leurs esprits.
Le procès se poursuit.
Le Procès reprendre une minute avant que le Procureur s’énerve à nouveau avec Barthélémy Dias cette fois. Le maire de Mermoz Sacré Cœur choisit toujours sa façon de répondre aux questions du Procureur « Je suis désolé monsieur le Procureur, je sais que vous êtes dans votre rôle mais je ne peux pas répondre par « oui » ou « non ». Je suis un prévenu je ne suis pas un écolier. Je dois éclairer le Tribunal ». « Vous devez répondre à ma question par « oui » ou « non ». Vous avez le droit de ne pas répondre », dit le Procureur.
Me El Hadji Diouf intervient à nouveau : « vous posez les mauvaises questions. Vous voulez faire peur à mon client parce que vous savez que votre dossier est vide ». « C’est vous qui posez les mauvaises questions. Le Parquet n’a peur de rien », lui renvoie le parquetier. Le Président Ndary Diop intervient pour rappeler à la raison les parties. Rien y fait ; les nerfs s’échauffent. Pendant 30 minutes les parties se sont chamaillées avant de reprendre leurs esprits.
Le procès se poursuit.
