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"L'avocat, réputé être l'un des plus gros bras de la Françafrique a encore porté son costume de mercenaire pour voler, cette fois-ci, au secours du Président Macky Sall. Ses méthodes sont simples et ne demeurent plus un mystère pour personne. Il est payé pour distiller des boules puantes sur les adversaires du régime qui l'engage.
Dans une interview avec L'Observateur, Robert Bourgi donne une version d'un entretien qui a eu lieu à la veille de la Présidentielle de 2012, entre Karim Wade, le Président français d'alors Nicolas Sarkozy et lui-même. Il était question, selon l'avocat de persuader l'actuel candidat du Pds, de convaincre son père de ne pas briguer un 3e mandat. Ce que Karim aurait catégoriquement refusé.
"Je dois vous faire une confidence. J'ai accompagné Karim Wade à son dernier entretien à l'Élysée avec le Président Sarkozy. Nous étions à quelques mois de l'élection présidentielle au Sénégal. Sensibilisé par mes soins, le Président Sarkozy avait dit à Karim de tout faire pour que son père ne brigue pas un troisième mandat. Avec le sourire, Karim a réfuté tout cela, en prétextant que son père allait être réélu au premier tour. Nous connaissons la suite", a-t-il confié à nos confrères.
Selon l'homme qui n'a pas hésité à enfoncé "son ami" François Fillon au milieu de la tempête préélectorale, la candidature de Karim Wade ne peut pas être validée, si on se base sur le plan du Droit.
Dans une interview avec L'Observateur, Robert Bourgi donne une version d'un entretien qui a eu lieu à la veille de la Présidentielle de 2012, entre Karim Wade, le Président français d'alors Nicolas Sarkozy et lui-même. Il était question, selon l'avocat de persuader l'actuel candidat du Pds, de convaincre son père de ne pas briguer un 3e mandat. Ce que Karim aurait catégoriquement refusé.
"Je dois vous faire une confidence. J'ai accompagné Karim Wade à son dernier entretien à l'Élysée avec le Président Sarkozy. Nous étions à quelques mois de l'élection présidentielle au Sénégal. Sensibilisé par mes soins, le Président Sarkozy avait dit à Karim de tout faire pour que son père ne brigue pas un troisième mandat. Avec le sourire, Karim a réfuté tout cela, en prétextant que son père allait être réélu au premier tour. Nous connaissons la suite", a-t-il confié à nos confrères.
Selon l'homme qui n'a pas hésité à enfoncé "son ami" François Fillon au milieu de la tempête préélectorale, la candidature de Karim Wade ne peut pas être validée, si on se base sur le plan du Droit.