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De l’avis du professeur Daouda Ndiaye, chef du département de parasitologie de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, le Sénégal a fait un bond en avant de plusieurs points depuis 2000. Le taux d’incidence de mortalité est passé de 35% à 2% en 2017. Ces résultats ont été obtenus grâce aux recherches et à la surveillance de la maladie, a fait savoir le professeur Ndiaye.
Ce qui a permis aux acteurs de la lutte contre cette maladie de souligner : «l’objectif général est d’évaluer l’impact de la recherche sur la génomique épidémiologique du paludisme réalisée au Sénégal par le département de parasitologie et de voir sa mise éventuelle à l’échelle au Sénégal et dans d’autres pays Africains, pour le contrôle et l’élimination du paludisme».
La Fondation Bill et Melinda Gates, rappelons-le, appuie le Sénégal, à travers le département de Parasitologie de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, dans le cadre de la formation et de la recherche de nouveaux outils et de nouvelles stratégies pour le contrôle et l’élimination du paludisme au Sénégal.
«Cette rencontre devra aussi permettre de trouver d’autres pays pour le financement et la vulgarisation des résultats de recherche. Ce sont les moyens financiers qui manquent dans cette lutte. C’est le moment d’en trouver», a renseigné le professeur. Soulignons que la rencontre d’échanges prend fin ce vendredi avec comme programme une journée consacrée à une visite de la section de lutte contre le paludisme de Thiès.