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France 24 s’indigne des propos outranciers et diffamatoires du gouvernement burkinabè, associant la chaîne à « une agence de communication pour ces terroristes », qui tentent de décrédibiliser la chaîne, dont l'indépendance et la déontologie ne sont plus à démontrer. France 24 rappelle son attachement sans faille à la liberté d’informer comme au travail professionnel de ses journalistes.
En outre, la décision de suspendre la chaîne intervient sans préavis et sans que n’aient été mises en œuvre les procédures prévues par la convention de diffusion de France 24 établie par le Conseil Supérieur de la Communication du Burkina Faso. Pourtant, des échanges continus entre l’autorité de régulation et des représentants de France 24 ont toujours permis un dialogue constructif. Jamais n’a été évoqué le motif qui sert de prétexte aujourd’hui au gouvernement du pays pour justifier la suspension de la diffusion de la chaîne. En décembre dernier, le gouvernement burkinabè avait déjà suspendu la radio RFI dans les mêmes conditions exorbitantes du droit commun, s’exonérant de tout respect des procédures.
Au Burkina Faso, France 24 est suivie par un tiers de la population chaque semaine et plus de 60% des cadres et dirigeants. Elle reste accessible en réception satellitaire directe via Eutelsat 16 A et SES 5, sur YouTube, Internet et les réseaux sociaux.
avec Rfi