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Sollicité, le porte-parole du gouvernement sénégalais n'a pas retourné les appels de l'Associated Press.
La FIDH, l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT) et leurs organisations membres et partenaires au Sénégal s'inquiètent dans un communiqué conjoint "de la multiplication des attaques et des menaces de la part du camp présidentiel (d'Abdoulaye Wade, NDLR) à l'encontre de toute voix contestataire s'exprimant sur la situation politique et démocratique du Sénégal".
Ces organisations "exhortent les autorités sénégalaises à faire cesser toutes actions violentes ou illégales, à engager des enquêtes sur leurs auteurs et à respecter pleinement le jeu démocratique", à l'approche des élections prévues pour 2012.
La FIDH estime que Paul Nsapu a été emmené au commissariat de la Police de l'air et des frontières pour l'empêcher de participer à la conférence de presse sur le rapport annuel. "La rétention de Paul Nsapu est symptomatique de la dérive des autorités sénégalaises vers le dénis de justice et de droit. Nous condamnons fermement cette mesure arbitraire et non fondée et dénonçons une atteinte majeure à la liberté d'expression", a déclaré Souhayr Belhassen, présidente de la FIDH.
L'organisation affirme également que la douane sénégalaise retient depuis le 19 octobre des exemplaires en français du 14e rapport annuel de l'Observatoire qui avaient été envoyés pour cette conférence de presse prévue vendredi à Dakar. "Selon les informations reçues" par la FIDH, "la Direction de la surveillance du territoire (DST) conditionne le dédouanement à la vérification du chapitre sur la situation des défenseurs au Sénégal". AP
Nouvelobs.com
La FIDH, l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT) et leurs organisations membres et partenaires au Sénégal s'inquiètent dans un communiqué conjoint "de la multiplication des attaques et des menaces de la part du camp présidentiel (d'Abdoulaye Wade, NDLR) à l'encontre de toute voix contestataire s'exprimant sur la situation politique et démocratique du Sénégal".
Ces organisations "exhortent les autorités sénégalaises à faire cesser toutes actions violentes ou illégales, à engager des enquêtes sur leurs auteurs et à respecter pleinement le jeu démocratique", à l'approche des élections prévues pour 2012.
La FIDH estime que Paul Nsapu a été emmené au commissariat de la Police de l'air et des frontières pour l'empêcher de participer à la conférence de presse sur le rapport annuel. "La rétention de Paul Nsapu est symptomatique de la dérive des autorités sénégalaises vers le dénis de justice et de droit. Nous condamnons fermement cette mesure arbitraire et non fondée et dénonçons une atteinte majeure à la liberté d'expression", a déclaré Souhayr Belhassen, présidente de la FIDH.
L'organisation affirme également que la douane sénégalaise retient depuis le 19 octobre des exemplaires en français du 14e rapport annuel de l'Observatoire qui avaient été envoyés pour cette conférence de presse prévue vendredi à Dakar. "Selon les informations reçues" par la FIDH, "la Direction de la surveillance du territoire (DST) conditionne le dédouanement à la vérification du chapitre sur la situation des défenseurs au Sénégal". AP
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