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"Le problème du Sénégal est le manque de suivi des initiatives prises pour le développement", cette remarque faite par Serigne Moustapha Sylla à Dianatoul Mahwa chevauche la conviction de Djibril Ngom selon qui "tout est urgence au Sénégal". Donc, dit-il, "il faut agir et agir vite pour combattre la pauvreté (taux de pauvreté à 55%)".
Pour ce faire, Djibril Ngom entend s’attaquer à résoudre ce qu’il appelle "l’exigence sociale", en créant un fonds national pour l’emploi des jeunes et des femmes afin de promouvoir le volet auto-emploi, avec comme préalable, la formation dans des centres créés à cet effet. Aussi, promet-il la distribution équitable des recettes budgétaires annuelles à hauteur de 300 milliards de francs Cfa aux citoyens démunis dans les campagnes et dans les centres urbains. "Une fois cette question d’exigence sociale réglée, explique-t-il, je compte m’appuyer sur les leviers de l’endiguement (suivi de la maintenance de toutes les infrastructures déjà construites afin de baisser les prix des denrées de première nécessité), de transition, c’est à dire, poser les jalons d’une véritable rupture ». « Il s’agit, précise-t-il, de promouvoir les secteurs de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, de l’artisanat, de l’industrie (...), de changer les valeurs. Mais tout cela doit baigner dans un climat de paix, surtout dans le sud du pays, une région qui compte beaucoup dans mon programme de développement".
"C’est en ce moment seulement que les Sénégalais sont invités à travailler durement, pour atteindre un taux de croissance de 10%. C’est la phase l’envol vers l’émergence", soutient-il.
Djibril Ngom prône aussi l’augmentation du nombre des universités au Sénégal afin de permettre d’orienter tous les bacheliers et donner la chance à tous les enfants du Sénégal à bénéficier une formation. Le candidat de Taxawu Askan Wi prévoit un programme spécial pour la ville Sainte de Touba. Il s’agit de s’attaquer à la question de son assainissement".
Abdou TIMERA (APPEL)
Pour ce faire, Djibril Ngom entend s’attaquer à résoudre ce qu’il appelle "l’exigence sociale", en créant un fonds national pour l’emploi des jeunes et des femmes afin de promouvoir le volet auto-emploi, avec comme préalable, la formation dans des centres créés à cet effet. Aussi, promet-il la distribution équitable des recettes budgétaires annuelles à hauteur de 300 milliards de francs Cfa aux citoyens démunis dans les campagnes et dans les centres urbains. "Une fois cette question d’exigence sociale réglée, explique-t-il, je compte m’appuyer sur les leviers de l’endiguement (suivi de la maintenance de toutes les infrastructures déjà construites afin de baisser les prix des denrées de première nécessité), de transition, c’est à dire, poser les jalons d’une véritable rupture ». « Il s’agit, précise-t-il, de promouvoir les secteurs de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, de l’artisanat, de l’industrie (...), de changer les valeurs. Mais tout cela doit baigner dans un climat de paix, surtout dans le sud du pays, une région qui compte beaucoup dans mon programme de développement".
"C’est en ce moment seulement que les Sénégalais sont invités à travailler durement, pour atteindre un taux de croissance de 10%. C’est la phase l’envol vers l’émergence", soutient-il.
Djibril Ngom prône aussi l’augmentation du nombre des universités au Sénégal afin de permettre d’orienter tous les bacheliers et donner la chance à tous les enfants du Sénégal à bénéficier une formation. Le candidat de Taxawu Askan Wi prévoit un programme spécial pour la ville Sainte de Touba. Il s’agit de s’attaquer à la question de son assainissement".
Abdou TIMERA (APPEL)