Autres articles
-
Sur les 52 nominations du Conseil des ministres de ce mercredi, une a particulièrement retenu l’attention des médias. «Monsieur Lamine Barra Lô […] est nommé directeur général de l’Office national de formation professionnelle (ONFP), en remplacement
-
42 hommes et 10 femmes : Voici la liste des nouvelles nominations en Conseil des ministres
-
Chantiers de réparation navale : le verdict est tombé, ce qui va se passer
-
100% électrique, 300 000 passagers par jour, 420 milliards F CFA : Tout savoir sur la révolution BRT
-
Bus Rapide Transit : Le directeur du CETUD explique sa mise en exploitation progressive
El H. M. Fougne et S. Ndiaye ont fini par prendre le taureau par les cornes. Pour faire payer le pêcheur O. Pouye d’avoir réduit pendant plusieurs mois leurs épouses en objets sexuels, ces maris cocus, accompagnés de ces dernières, ont été les premiers à saisir la brigade de gendarmerie de Joal de plaintes. D’autres malheureux, flanquées de leurs femmes, suivront.
Les plaignants déclarent que le mis en cause usait chaque fois du même mode opératoire : il attirait ses victimes chez lui, les menaçait avec un couteau et les violait en filmant leurs ébats avant de les faire chanter. Selon l’accusation, il se disait prêt à divulguer les vidéos compromettantes si ses cibles cessaient de satisfaire ses désirs sexuels.
L’affaire a éclaté le 2 avril. D’après L’Observateur, qui rapporte cette histoire qui agite le quartier Moudaye et le Quai de pêche de Joal, ce jour-là, El H. M. Fougne apprend que sa femme le trompe. Le journal précise que c’est S. Diop qui est passée aux aveux après que son mari, troublé par ses nombreuses absences du domicile conjugal, l’a soumise à une séance d’explications. La dame révèle que son calvaire a duré cinq mois.
À la suite de la plainte de S. Diop, les gendarmes convoquent O. Pouye. Mais, selon L’Observateur, les enquêteurs sont saisis par un autre couple reprochant les mêmes faits à ce dernier. Il s’agit de S. Ndiaye (mari) et A. Konaté, qui assure avoir été l’objet sexuel du pêcheur six mois durant.
«Le ballet des femmes mariées victimes de Pouye va se poursuivre à la brigade de la gendarmerie. Au regard de leur statut matrimonial, la plupart d’entre elles préféreront se confier aux gendarmes au téléphone», souligne le journal du Groupe futurs médias.
O. Pouye a balayé les accusations de viol et de menaces de mort portées contre lui, rapporte la même source. Il admet avoir entretenu des relations intimes avec les plaignantes, mais assure que les victimes présumées étaient consentantes. «Au terme de la durée légale de sa garde à vue, il a été déféré au parquet de Mbour, vendredi», informe L’Observateur.
Les plaignants déclarent que le mis en cause usait chaque fois du même mode opératoire : il attirait ses victimes chez lui, les menaçait avec un couteau et les violait en filmant leurs ébats avant de les faire chanter. Selon l’accusation, il se disait prêt à divulguer les vidéos compromettantes si ses cibles cessaient de satisfaire ses désirs sexuels.
L’affaire a éclaté le 2 avril. D’après L’Observateur, qui rapporte cette histoire qui agite le quartier Moudaye et le Quai de pêche de Joal, ce jour-là, El H. M. Fougne apprend que sa femme le trompe. Le journal précise que c’est S. Diop qui est passée aux aveux après que son mari, troublé par ses nombreuses absences du domicile conjugal, l’a soumise à une séance d’explications. La dame révèle que son calvaire a duré cinq mois.
À la suite de la plainte de S. Diop, les gendarmes convoquent O. Pouye. Mais, selon L’Observateur, les enquêteurs sont saisis par un autre couple reprochant les mêmes faits à ce dernier. Il s’agit de S. Ndiaye (mari) et A. Konaté, qui assure avoir été l’objet sexuel du pêcheur six mois durant.
«Le ballet des femmes mariées victimes de Pouye va se poursuivre à la brigade de la gendarmerie. Au regard de leur statut matrimonial, la plupart d’entre elles préféreront se confier aux gendarmes au téléphone», souligne le journal du Groupe futurs médias.
O. Pouye a balayé les accusations de viol et de menaces de mort portées contre lui, rapporte la même source. Il admet avoir entretenu des relations intimes avec les plaignantes, mais assure que les victimes présumées étaient consentantes. «Au terme de la durée légale de sa garde à vue, il a été déféré au parquet de Mbour, vendredi», informe L’Observateur.