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Du coup, deux blocs se sont formé sur chaque extrémité du marché Colobane et se sont livré à de violents affrontements. Finalement, ce sont les forces de l'ordre dépêchées sur les lieux dans les minutes qui suivent qui ont empêché la situation de dégénérer.
Les populations de Colobane accusent ainsi les marchands ambulants d'avoir encombré les lieux à cause de l'occupation anarchique de la voie publique et de la chaussée.
Parlant au nom des populations riveraines, Assane Samb, un riverain, a confié que « les riverains ne peuvent même plus accéder à l'hôpital situé de l'autre du marché». Pis encore, il a ajouté que leurs enfants n'arrivent plus à accéder à l'école elle aussi située de l'autre bout du marché. Parce que, a-t-il dit, «toutes les ruelles menant vers elle sont obstruées par les cantines et autres étals des marchands ambulants». De même il a mis dans le dos des marchands ambulants les multiples embouteillages qui gangrènent la libre circulation et des personnes et des biens dans le secteur occasionnée selon lui par l'occupation anarchique de la voie publique.
Balayant d'un revers de main toutes ses accusations, Khadim Mbaye, président des marchands ambulants a décelé derrière cet acte la main de la municipalité de Fass, Colobane, Gueule tapée. À l'en croire, c'est le maire de la municipalité Seynabou Wade qui a payé des nervis pour démolir leurs catines et étals. Mais, a-t-il averti: «nous n'allons pas la laisser faire». «Nous allons lui en empêcher jusqu'à la dernière énergie», a renchéri le président des marchands ambulants qui ont d'ailleurs tenté d'incendier la maison de la maire de Fass-Colobane-Gueule tapée.
Coolio
Les populations de Colobane accusent ainsi les marchands ambulants d'avoir encombré les lieux à cause de l'occupation anarchique de la voie publique et de la chaussée.
Parlant au nom des populations riveraines, Assane Samb, un riverain, a confié que « les riverains ne peuvent même plus accéder à l'hôpital situé de l'autre du marché». Pis encore, il a ajouté que leurs enfants n'arrivent plus à accéder à l'école elle aussi située de l'autre bout du marché. Parce que, a-t-il dit, «toutes les ruelles menant vers elle sont obstruées par les cantines et autres étals des marchands ambulants». De même il a mis dans le dos des marchands ambulants les multiples embouteillages qui gangrènent la libre circulation et des personnes et des biens dans le secteur occasionnée selon lui par l'occupation anarchique de la voie publique.
Balayant d'un revers de main toutes ses accusations, Khadim Mbaye, président des marchands ambulants a décelé derrière cet acte la main de la municipalité de Fass, Colobane, Gueule tapée. À l'en croire, c'est le maire de la municipalité Seynabou Wade qui a payé des nervis pour démolir leurs catines et étals. Mais, a-t-il averti: «nous n'allons pas la laisser faire». «Nous allons lui en empêcher jusqu'à la dernière énergie», a renchéri le président des marchands ambulants qui ont d'ailleurs tenté d'incendier la maison de la maire de Fass-Colobane-Gueule tapée.
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