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«Aujourd’hui encore, dans nombre d’établissements, le déficit de professeurs met leurs administrations et potaches dans l’expectative et entame le quantum horaire, alors que les retours de stage, les sortants de la Fastef et du Cneps et de l’Inseps attendent d’être affectés», souligne le Cusems. Nonobstant cela, le Directoire national a apprécié le niveau d’exécution du protocole de 2014. Et c’est pour «constater aussi pour s’en désoler des lenteurs coupables dans la matérialisation d’accords réalistes et réalisables, souscrits depuis trois ans. Tels que la révision du système indemnitaire dans un sens plus équitable, la formation diplômante des professeurs recrutés avec des diplômes spéciaux (Profs de philo, d’économie familiale, de maths)». Il fait aussi cas des «passerelles professionnelles et la création du corps des administrateurs scolaires, le règlement définitif des lenteurs dans la gestion des carrières par la dématérialisation des fichiers annoncée depuis trois ans».
Sur ce, le Cusems «soucieux de la stabilité du système», interpelle les autorités, mais aussi tous les autres acteurs du système. Surtout, le Cusems «exige le paiement intégral et global de toutes les indemnités du Bac et du Bfem, au plus tard le 30 novembre 2016. L’arrêt immédiat des redéploiements intempestifs et arbitraires qui remettent d’ailleurs souvent en cause les résultats du mouvement national, démoralisent les enseignants et perturbent les élèves et leurs parents. L’affectation immédiate de professeurs dans de nombreux Collèges nouvellement créés, dépourvus de personnel et que la tutelle tente de faire fonctionner avec des compléments horaires». Par ailleurs, «le Directoire national se réserve le droit de déposer un préavis de grève pour obliger les autorités gouvernementales à honorer leurs engagements, au cas où son appel «ne serait pas attendu».
«L’opacité dans le paiement des sommes dues aux enseignants au titre des rappels, et ce malgré l’engagement souscrit par l’autorité le 6 mai 2016 de communiquer aux partenaires syndicaux les matricules des agents désintéressés par les différentes tranches du budget global de 24,2 milliards voté lors de la Lfr pour éponger les rappels», est aussi soulevé par le syndicat. Il relève en effet qu’«à ce jour, beaucoup d’enseignants concernés attendent encore». Ce qui, selon le Cusems, est un «mépris des autorités pour tous les agents de la fonction publique qui, après des décennies de bons et loyaux services à la nation, se retrouvent subitement dans une précarité résultant du retard incompréhensible dans le paiement de leurs pensions de retraite».
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Sur ce, le Cusems «soucieux de la stabilité du système», interpelle les autorités, mais aussi tous les autres acteurs du système. Surtout, le Cusems «exige le paiement intégral et global de toutes les indemnités du Bac et du Bfem, au plus tard le 30 novembre 2016. L’arrêt immédiat des redéploiements intempestifs et arbitraires qui remettent d’ailleurs souvent en cause les résultats du mouvement national, démoralisent les enseignants et perturbent les élèves et leurs parents. L’affectation immédiate de professeurs dans de nombreux Collèges nouvellement créés, dépourvus de personnel et que la tutelle tente de faire fonctionner avec des compléments horaires». Par ailleurs, «le Directoire national se réserve le droit de déposer un préavis de grève pour obliger les autorités gouvernementales à honorer leurs engagements, au cas où son appel «ne serait pas attendu».
«L’opacité dans le paiement des sommes dues aux enseignants au titre des rappels, et ce malgré l’engagement souscrit par l’autorité le 6 mai 2016 de communiquer aux partenaires syndicaux les matricules des agents désintéressés par les différentes tranches du budget global de 24,2 milliards voté lors de la Lfr pour éponger les rappels», est aussi soulevé par le syndicat. Il relève en effet qu’«à ce jour, beaucoup d’enseignants concernés attendent encore». Ce qui, selon le Cusems, est un «mépris des autorités pour tous les agents de la fonction publique qui, après des décennies de bons et loyaux services à la nation, se retrouvent subitement dans une précarité résultant du retard incompréhensible dans le paiement de leurs pensions de retraite».
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