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« Il n’y aura pas d’année blanche à l’école. C’est une idée à ne pas envisager un seul instant ». Ces propos sont de Kalidou Diallo ministre de l’éducation chargé du Préscolaire, de l’Elémentaire, du Moyen secondaire et des Langues Nationales. C’était lors d’un point de presse qu’il a tenu hier dans son ministère juste après sa sortie de Clinique où il était interné depuis quelques jours suite à l’accident de la circulation dont il a été victime sur la route de Ranérou-Matam. Il a voulu ainsi rassuré l’opinion nationale qui avait commencé à être gagnée par une large rumeur faisant état d’une probable année blanche dont les signes précurseurs étaient perceptibles à l’école suite à la longue grève observée depuis mi-novembre par les enseignants du Moyen Secondaire.
Mieux, il a annoncé très clairement que les examens auront lieu aux dates indiquées par le calendrier scolaire pour tous les élèves du public et du privé qui ont suivi régulièrement les cours. Pour les autres qui auront des rattrapages à faire, il leur sera organisé, promet le ministre, une seconde session, comme en 2008, quand le système avait quelques perturbations.
Devant la fédération des associations des parents d’élèves (FAPES), du Président du Comité National du dialogue Social et des deux Coalitions nationales pour l’éducation (Cn/EPT et Cosydep), le ministre Kalidou Diallo a dressé le bilan de la situation de l’école avec des chiffres à l’appui. Selon lui, à l’analyse de la situation, il reste évident que l’Ecole élémentaire fonctionne sur toute l’étendue du territoire national. Il dit avoir fondé sa conviction sur l’avis unanime des quatorze inspecteurs d’Académie du Sénégal selon qui, seuls les lycées situés particulièrement dans la région de Dakar ne fonctionnent pas à plein régime, excepté trois d’entre eux.
Pour ce qui les concerne les collèges relevant de cette même région les 62 sur 99 établissements ont déjà fait les compositions du 1er semestre. Ailleurs à Tambacounda, dans la région orientale, tous les établissements (lycées et collèges confondus) n’ont pas totalisé plus de 21jours de grève. A Kaolack, par contre, tous les établissements relevant du Moyen Secondaire fonctionnent sauf le lycée Waly Diodio Ndiaye. A Saint-Louis les perturbations ne s’étendent pas à tous les établissements.
Dans les autres régions comme Ziguinchor, Diourbel, Sédhiou, Kolda, Louga, Matam, Kédougou, Thiès, Kaffrine; les taux de perturbations enregistrées ça et là sont très variables. Ils se situent entre 15 et 60% selon les zones. Convaincu qu’avec une telle situation rien n’est encore perdu pour l’école, le ministre soutient que si les syndicats suspendent immédiatement leur grève, les cours pourront reprendre sans tarder et les évaluations seront organisées à temps échu.
Le ministre ainsi que la Fédération des parents d’élèves et le Comité de dialogue Social, ont invité les syndicats à suspendre leur mot d’ordre de grève en vue de la poursuite des négociations.
Mieux, il a annoncé très clairement que les examens auront lieu aux dates indiquées par le calendrier scolaire pour tous les élèves du public et du privé qui ont suivi régulièrement les cours. Pour les autres qui auront des rattrapages à faire, il leur sera organisé, promet le ministre, une seconde session, comme en 2008, quand le système avait quelques perturbations.
Devant la fédération des associations des parents d’élèves (FAPES), du Président du Comité National du dialogue Social et des deux Coalitions nationales pour l’éducation (Cn/EPT et Cosydep), le ministre Kalidou Diallo a dressé le bilan de la situation de l’école avec des chiffres à l’appui. Selon lui, à l’analyse de la situation, il reste évident que l’Ecole élémentaire fonctionne sur toute l’étendue du territoire national. Il dit avoir fondé sa conviction sur l’avis unanime des quatorze inspecteurs d’Académie du Sénégal selon qui, seuls les lycées situés particulièrement dans la région de Dakar ne fonctionnent pas à plein régime, excepté trois d’entre eux.
Pour ce qui les concerne les collèges relevant de cette même région les 62 sur 99 établissements ont déjà fait les compositions du 1er semestre. Ailleurs à Tambacounda, dans la région orientale, tous les établissements (lycées et collèges confondus) n’ont pas totalisé plus de 21jours de grève. A Kaolack, par contre, tous les établissements relevant du Moyen Secondaire fonctionnent sauf le lycée Waly Diodio Ndiaye. A Saint-Louis les perturbations ne s’étendent pas à tous les établissements.
Dans les autres régions comme Ziguinchor, Diourbel, Sédhiou, Kolda, Louga, Matam, Kédougou, Thiès, Kaffrine; les taux de perturbations enregistrées ça et là sont très variables. Ils se situent entre 15 et 60% selon les zones. Convaincu qu’avec une telle situation rien n’est encore perdu pour l’école, le ministre soutient que si les syndicats suspendent immédiatement leur grève, les cours pourront reprendre sans tarder et les évaluations seront organisées à temps échu.
Le ministre ainsi que la Fédération des parents d’élèves et le Comité de dialogue Social, ont invité les syndicats à suspendre leur mot d’ordre de grève en vue de la poursuite des négociations.
SUDONLINE.SN
